RDC-Kayembe : les activités tournent au ralenti après l’effondrement d’un pont

Depuis quelques jours, les activités socio-économiques ne tournent presque pas à Kayembe à cause de l’effondrement d’un pont.

 

A Kayembe le pont Luhuku s’est cassé depuis deux semaines. Cet effondrement n’est pas sans conséquence dans le quotidien de la population. Les activités socio-économiques tournent au ralenti. C’est du moins ce qu’a affirmé Saidi Vumba, activiste des droits de l’homme et notable.

Selon ce notable, les élèves des villages avoisinants ont du mal à se rendre à l’école, et plusieurs véhicules bloqués occasionnant ainsi la hausse de prix des produits vivriers. Des commerçants attendaient impatiemment leurs marchandises, bloqué dans les véhicules qui ne peuvent pas traverser.

« Nous sommes pendant la période pluvieuse où les eaux inondent chaque fois. Et cette rivière se trouve entre les deux villages (Kalimaungu et Kayembe). Les enfants même de Kalimangu ont du mal à traverser pour aller à l’école.  Même les piétons ou même les motards souffrent. Les gros véhicules qui viennent du Sud-Kivu, ne vont pas traverser même si on envisageait cette solution provisoire que le chef de secteur et sa population sont en train de se battre pour en avoir », se plaint Saidi Vumbi.

Saidi Vumbi appelle à l’implication du gouvernement provincial pour la construction d’un nouveau pont.

RDC-Mweso : près de 19 morts et 27 blessés à la suite des explosions de bombes

L’armée accuse les rebelles du M23 et leurs alliés de l’armée rwandaise d’être à l’origine des explosions de bombes qui ont fait plusieurs victimes à Mweso.

 

Plusieurs bombes explosent jeudi 25 janvier, sur la cite de Mweso, territoire de Masisi (Nord-Kivu). Le bilan de ces explosions fait état de 19 civils morts et 27 autres blessés. Le doigt accusateur est pointé vers les rebelles du M23 et leurs alliés de l’armée rwandaise. L’information a été révélée dans un communique du porte-porole de l’armée de la province du Nord-Kivu, le lieutenant-colonel Guillaume Njike Kaiko.

Pour cet officier militaire, les rebelles ont posé cet acte « terroriste » après avoir été délogés de la cité de Mweso :
« Les FARDC ont contenu la barbarie de l’ennemie jusqu’à le repousser en profondeur au-delà de la cite peuplée de Mweso afin d’éviter les dégâts collatéraux du côté de la population civile. Ayant constaté la perte de la cité de Mweso, les terroristes du M23, appuyés par l’armée rwandaise, ont largué de manière aveuglette des bombes au mortier 120, orientées vers la dite cité, causant la mort de 19 personnes et 27 civils parmi les civils innocents ».

En dehors des morts et des blessés, plusieurs maisons d’habitation dans la cité de Mweso ont été détruites par les explosions des bombes. Considérant cet acte terroriste comme une violation grave du droit humanitaire international, les FARDC appellent la communauté internationale à se saisir de cette bavure afin d’en tirer les conséquences qui s’imposent.

Sur son compte X, le président du M23, Bertrand Busimwa a rejeté la responsabilité des dégâts enregistrés à Mweso aux FARDC.
Les FARDC quant à eux se disent déterminées à repousser hors du territoire national, l’armée rwandaise et les terroristes du M23.

RDC : les résultats des élections contestés

La Coordination des opérations électorales de Lamuka (COEL) a rejeté en bloc, jeudi 25 janvier à Kinshasa, les résultats de tous les élections publiées par la CENI.

 

La COEL a tenu une conférence de presse à Kinshasa le jeudi 25 janvier 2024. Au cours de celle-ci, elle a rejeté en bloc tous les résultats publiés par la CENI. S’appuyant sur le monitoring effectué par cette structure, Faustin Kwakwa Nkakala, son coordonnateur, a révélé que ce qui s’est passé le 20 décembre 2023, était plutôt « un simulacre d’élections avec une fabrication des chiffres ».

Faustin Kwakwa Nkakala, a appelé à l’annulation de ces scrutins :
« Il n’y a pas eu élections, parce que toute la fraude, la tricherie a été boutiquée. En tant que tel, comme dit le principe de droit, la fraude annule tout. Nous estimons que les résultats ou les chiffres qui ont été publiés, ont été fabriqués de toute pièce ; et là, nous venons de démontrer que ces chiffres ne peuvent être acceptés par n’importe qui les analyse et qui les regarde ».

Pour le coordonnateur de la COEL, la Cour constitutionnelle et la CENI « qu’on a voulu neutre et indépendante une machine à fabriquer les dirigeants », sont politisées.

RDC : un consortium de ONG demande la libération de Salomon Idi Kalonda

Cette organisation a fait son plaidoyer dans une déclaration faite le mercredi 24 janvier 2024, à Kinshasa.

 

Le consortium des ONG des droits de l’homme plaide pour la libération provisoire du conseiller de Moise Katumbi. Salomon Idi Kalonda a été arrêté sur le tarmac de l’aéroport international de Ndjili à Kinshasa, le 30 mai 2023, alors qu’il s’apprêtait à prendre l’avion pour Lubumbashi. Il est accusé notamment d’atteinte à la sûreté de l’État et de collusion avec la rébellion du M23.

Cet homme politique a été élu député provincial en décembre dernier alors qu’il est en prison. Le coordonnateur du consortium, Dieudonné Mushagalusa estime que Salomon Idi Kalonda doit occuper son siège l’assemblée provinciale du Maniema.

Il en appelle à l’intervention du Chef de l’Etat dans ce dossier :

« C’est une demande que la population adresse clairement surtout au Président de la République et à toutes les institutions qui peuvent intervenir sur son cas pour qu’on puisse comprendre que c’est quelqu’un qui est porté par la population, en qui la population met sa confiance », a-t-il précisé

RDC : un atelier pour installer une commission consultative du règlement des conflits

Ouvert mercredi 24 janvier, l’atelier regroupe des chefs de chefferie, des administrateurs de territoire, de la société civile et d’autres structures.

 

Ils sont environ quatre-vingt-dix chefs traditionnels, administrateurs de territoire, société civile et autres structures, réunis à Bukavu (Sud-Kivu). C’est dans le cadre d’un atelier qui pour objectif d’installer une Commission consultative de règlement des conflits coutumiers, (CCRCC) provinciale.

La Commission aura pour mission de traiter les recours des sentences contestées par les CCRCC des secteurs et chefferies d’une part, et traiter les conflits qui affectent les leaders des chefferies d’autre part.

Pour le gouvernement provincial, « L’organisation de la CCRCC provinciale, constitue pour le gouvernement provincial du Sud-Kivu un grand ouf de soulagement tant qu’il est appelé à recevoir toutes les réclamations pour une solution durable de stabilisation de nos pouvoirs coutumiers à la base »,

Jusqu’au vendredi 26 janvier, les participants vont pouvoir renforcer leurs capacités en matière de gestion des conflits coutumiers, élire et installer les membres de la CCRCC provinciale du Sud-Kivu, enfin designer le représentant du Sud-Kivu au sein de la Commission consultative de règlement des conflits coutumiers nationale.

CAN 2023 : les Léopards seront face aux Pharaons en 8ede finale

La République démocratique du Congo a validé son ticket après un match nul (0-0) face aux Taifa Stars de la Tanzanie mercredi 24 janvier 2024.

 

Les Léopards se qualifient pour les 8e de finale de la Coupe d’Afrique des Nations 2023. Après un match nul de zéro but partout face à la Tanzanie, mercredi 24 janvier, au stade Amadou Gon Coulibaly de Korobo, en Côte d’Ivoire.

Ce nul entre les deux équipes a permis à la RDC termine la phase de groupe en deuxième position, après le Maroc qui a eu raison de la Zambie sur le score d’un but à zéro au stade de San Pedro. Les Léopards vont croiser le fer face à la sélection Egyptienne le dimanche 28 janvier.

Rappelons que la RDC et l’Egypte se sont déjà croisées à deux reprises en phase à élimination directe de la CAN. Les Egyptiens ont toujours dominer les Congolais et remporter la qualification.

RDC-Elections 2023 : des contestations après la publication provisoire des députés

688 candidats ont été élus députés provinciaux en RDC. La liste publiée par la CENI dans la nuit de dimanche à ce lundi reste encore provisoire.

 

La CENI avance un chiffre de 17. 960.910 de suffrages valablement exprimés au niveau national avec un taux du seuil légal de représentativité de 3 % dans chaque province. Ce qui fait un total de 688 députés provinciaux élus sur l’ensemble du territoire national. Des résultats contestés par des politiques.

Face à ces contestations, le président de la CENI, Denis Kadima appelle, tous les candidats qui contestent les résultats à saisir les cours et tribunaux.

« La CENI s’est efforcée de réaliser un bon travail mais les erreurs ne sont pas totalement à exclure. Les Cours et Tribunaux sont là pour corriger de tels cas. Les récriminations voire les accusations sur les réseaux sociaux ou les canaux non indiqués sont tout à fait contre productives. Elles ne peuvent qu’uniquement susciter de l’émoi et créer de l’incompréhension. La voie la plus indiquée reste et demeure le recours à la justice », a-t-il dit.

Pour Denis Kadima, « bon nombre de plaintes sont purement et simplement sans fondement, parce que basées sur une compréhension erronée des dispositions légales telles que le seuil électoral ou encore le quotient électoral ».

« Dans les circonscriptions uninominales, c’est-à-dire à un seul siège, c’est le système majoritaire qui s’applique, le candidat qui a plus de voix est proclamé, tandis que dans les circonscriptions à plus d’un siège à pourvoir, c’est le système proportionnel doublé du seuil légal de représentativité qui s’applique, c’est la raison pour laquelle un candidat qui a obtenu 7000 voix peut être battu par celui qui n’en a reçu que 3000. Avec le seuil légal de représentativité, il peut arriver qu’un seul parti puisse atteindre le seuil dans une circonscription électorale donnée, dans ce cas, c’est ce parti qui rafle tous les sièges de ladite circonscription » a-t-il rappelé.

Les résultats provisoires de 915 conseillers communaux sur plus de 50.000 candidats seront publié ce lundi 22 janvier. Une annonce faite par la CENI.

 

 

RDC-Elections 2023 : 688 personnes élues députés provinciaux (provisoire)

La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a publié dans la nuit de dimanche à ce lundi 22 janvier la liste provisoire des députés provinciaux.

 

En RDC, ce sont 688 noms qui figurent sur la liste provisoire des députés provinciaux élus sur les 780 attendus. La CENI a publié la liste dans la nuit de dimanche à lundi 22 janvier 2024. L’institution chargée des élections, parle de de 17. 960.910 de suffrages valablement exprimés au niveau national avec un taux du seuil légal de représentativité de 3 % dans chaque province.

Il faut noter que la province de Kinshasa est celle qui a le plus de députés provinciaux, soit plus de 40 en raison de son grand nombre d’électeurs. En plus quelques circonscriptions ne sont pas concernées par cette publication. Notamment les circonscriptions de Budjala dans le Sud-Ubangi, Bomongo et Makanza dans l’Equateur n’ont pas été publiés pour raison d’enquête sur le disfonctionnement y observé le jour de vote.

A ces trois circonscriptions s’ajoutent celles de Masimanimba au Kwilu et Yakoma au Nord-Ubangi où les scrutins ont été annulés par la CENI pour fraude. Et aussi les territoires de Masisi et Rustshuru au Nord-Kivu où les élections n’ont pas été organisées à cause de l’insécurité.
Selon la CENI, près de 40 000 candidats avaient postulé aux législatives provinciales.

CAN 2023 : match nul entre la RDC et le Maroc (1-1)

Les Léopards de la RDC ont tenu en échec les Lions de l’Atlas du Maroc ce dimanche 21 janvier lors du match de la deuxième journée du groupe F.

 

La rencontre entre les Léopards de la RDC et les Lions de l’Atlas s’est soldée par un score d’un but partout (1-1). Ce sont les Marocains qui ont ouvert le score à la sixième minute par un but d’Hakimi. Les Congolais ont égalisé avec un but de Silas Katompa, désigné homme du match. C’était un match pendant lequel les deux équipes ont eu les moments de domination. A la première mi-temps, ce sont les Lions de l’Atlas qui ont commencé par imposé leur domination puis on a assisté à la monté en puissance des Léopards.

C’est à la Mais à la suite du corner obtenu par les Marocains, Hakimi, pas du tout attaqué, va ouvrir le score pour les Lions de l’Atlas à la sixième minute. Les Congolais vont alors réagir à la suite de ce but encaissé. Ils vont alors investir le camp marocain. A la suite d’une énorme faute sur Bongonda, des Congolais obtiennent un coup franc à la suite duquel Indonda recevra un coup au visage et sera blessé. L’arbitre est appelé par la VAR. Il désigne le point de pénalty. Bakambu se charge du penalty mais trouve le poteau. Il rate ainsi l’occasion pour son équipe de rejoindre au score le Maroc.

La RDC tient ainsi en échec le Maroc, demi-finaliste de la dernière coupe du Monde et empoche un point. Elle enchaine un deuxième match nul consécutif dans ce groupe F.

« AGL se positionne en opérateur de solutions logistiques globales pour l’ensemble des acteurs économiques »

Maïmouna DRAME DOLO, Directrice administrative et financière pour la Région Congo, RDC et Angola au sein d’Africa Global Logistics (AGL).

AGL fait partie du Groupe MSC, 1ère compagnie maritime mondiale. Au Congo, grâce à 1500 employés directs et des milliers de personnels de la sous-traitance, elle opère à travers une filiale logistique (AGL Congo), un terminal à conteneurs (Congo Terminal) et un terminal fluvial (Terminaux du Bassin du Congo).

 

  Quelles solutions logistiques avez-vous déployé au Congo ?

AGL se positionne en opérateur de solutions logistiques globales pour l’ensemble des acteurs économiques du Congo. Fort de notre ancrage africain à travers 47 pays et de la densité de notre réseau international sur l’ensemble des continents, AGL assure les opérations d’importation et d’exportations des marchandises pour satisfaire les attentes de l’économie du pays.

Nous réalisons ainsi des services de transport multimodal pour le fret maritime, aérien, routier, terrestre et ferroviaire. Nos équipes offrent une gestion optimisée des flux, des services de douane et de conformité réglementaire en étant un atout pour la fluidité de la chaîne logistique. Une offre de logistique contractuelle est proposée pour une gestion optimale des flux de marchandises au Congo.

Pour soutenir les enjeux de croissance de l’Afrique, AGL a développé une expertise reconnue dans la gestion des grands projets (mines, oil and Gas, télécommunications, infrastructures…) L’entreprise dispose d’une solide expérience dans la logistique sur les principaux corridors d’Afrique et notamment ceux de la région. Ce qui nous permet de délivrer des services dans les zones les plus reculées, grâce aux solutions logistiques intégrées door to door à nos clients. Aussi nous assurons la promotion du commerce intra-africain à travers des opérations d’exportation vers les pays de l’Afrique centrale.

 

Quel est l’impact de vos investissements au terminal à conteneurs de Pointe-Noire ?

Congo Terminal que nous opérons est concessionnaire du terminal à conteneurs du Port de Pointe-Noire, depuis 2009.  Nous y avons investi plus de 465 millions d’euros pour le moderniser tant au niveau des infrastructures que des équipements. Notre engagement auprès du Port de Pointe-Noire fait partie d’un plan d’investissements global destiné à faire de ce port, la porte océane de l’Afrique. Nous y avons développé un hub de transbordement favorisant l’essor de l’économie nationale et celle de la sous-région, tout en restant soucieux de l’environnement. Ce qui nous a permis depuis 2021, d’inscrire le Port de Pointe Noire au rang des terminaux millionnaires de la côte Ouest africaine. Ceci est rendu possible par nos programmes de montée en compétences des collaborateurs, de transformation digitale et d’excellence opérationnelle. Employeur favorisant le recrutement local, Congo Terminal compte actuellement plus de 900 talents congolais permanents et fait appel à des sous-traitants locaux qui mobilisent plus de 1 500 collaborateurs indirects.

Afin de maintenir l’attractivité de Pointe-Noire, et fort du support de notre actionnaire MSC le 1er armateur mondial, nous allons poursuivre avec le concours des autorités, un ambitieux plan d’investissements

Aujourd’hui les enjeux environnementaux sont au cœur de nos sociétés. Quelles sont les actions d’AGL pour la sauvegarde de la biodiversité ?

Notre Président Philippe Labonne a fixé l’éco-responsabilité comme un défi pour notre organisation et nous mettons en place diverses initiatives en faveur de la préservation de l’environnement. Chez Congo terminal, dans le cadre de la réduction de notre empreinte environnementale, nous avons effectué le raccordement au réseau électrique national, ce qui a significativement réduit notre consommation de gasoil. Nous avons également installé des fontaines d’eau réfrigérées, éliminant ainsi l’utilisation d’environ 1,5 million de bouteilles en plastique par an. Chaque année, les employés de nos filiales participent à des opérations de nettoyage des plages, permettant la collecte et le recyclage de plus d’une tonne de déchets plastiques. Nous avons établi des partenariats avec des entreprises et des ONG locales pour le recyclage de nos huiles, pneus, capsules de café/thé.

Avec AGL, nous avons par ailleurs obtenu la certification ISO 14001 pour l’ensemble de nos entités afin de mettre en cohérence les efforts de gestion environnementale responsable et efficace de nos activités logistiques et portuaires. La labellisation « Green Terminal », programme certifié par Bureau Veritas pour engager la transition écologique sur nos terminaux portuaires vient d’être remporté par Congo terminal. Chaque année, nous produisons un rapport de suivi de notre empreinte carbone, au travers d’une politique claire en matière de gestion des ressources telles que l’eau, l’électricité, le gasoil, le carburant, le fréon, les huiles, etc.

Nous sommes également très engagés dans la sensibilisation des jeunes, en intervenant régulièrement dans les établissements scolaires publics et privés. De même, nous organisons des programmes de sensibilisation pour les familles de nos collaborateurs, en partenariat avec l’ONG Renatura, spécialisée dans la préservation des tortues marines. Plus de 300 000 enfants ont été sensibilisés aux enjeux environnementaux durant ses dernières années.

Nous avons constaté que vous êtes les logisticiens de la CAN qui se joue en Côte d’Ivoire, comment se partenariat vous place-t-il  « au cœur des transformations de l’Afrique »?

Africa Global Logistics (AGL) et la Confédération Africaine de Football (CAF) ont officialisé leur partenariat le 21 décembre 2023, plaçant AGL en tant que partenaire logistique officiel de la CAF, notamment pour la CAN Total Energies 2023 en Côte d’Ivoire.

AGL, avec son réseau transport & logistique étendu dans 47 pays africains, met à la disposition de cet évènement africain d’envergure international son expertise et son expérience sur le continent. Nous nous sommes engagés à fournir des solutions logistiques adaptées et durables.

Ce partenariat va au-delà du sport, c’est une opportunité de créer un impact durable et positif à travers le football. Il symbolise également l’engagement commun envers des valeurs partagées et le développement inclusif en Afrique.

En unissant leurs forces, la CAF et AGL ouvrent un nouveau chapitre pour propulser le football africain vers de nouveaux défis. La CAN Total Energies 2023 en est le point de départ.

A propos d’AGL Congo

AGL (Africa Global Logistics) est l’opérateur logistique multimodal (portuaire, logistique, maritime et ferroviaire) de référence en Afrique. L’entreprise fait désormais partie du Groupe MSC, compagnie maritime et logistique de premier plan. Présent au Congo dans le transport et la logistique, AGL compte 1500 collaborateurs congolais à travers ses agences et ses filiales portuaires et logistiques. Implanté à Pointe Noire, Brazzaville et Dolisie, l’entreprise déploie des systèmes de management QHSE reposant sur des référentiels reconnus tels que l’ISO 4500. AGL s’investit dans l’amélioration des compétences de ses collaborateurs et participe activement au développement socio-économique du pays au moyen d’actions de responsabilité sociétale dans les secteurs de l’éducation, la réinsertion sociale, la préservation de l’environnement et l’accompagnement humanitaire.