crise cardiaque : Gestes à connaître pour agir rapidement

Face à une crise cardiaque, agir rapidement peut faire toute la différence entre la vie et la mort. Savoir reconnaître les signes d’une crise cardiaque et connaître les gestes de premiers secours peut sauver des vies, que ce soit celle de la personne en détresse ou même la vôtre si vous êtes confronté à cette situation. Voici quelques étapes essentielles à connaître pour agir efficacement :

 Reconnaître les signes d’une crise cardiaque

Les symptômes d’une crise cardiaque peuvent varier d’une personne à l’autre, mais les signes les plus courants incluent une douleur ou une sensation de pression dans la poitrine qui peut s’étendre vers les bras, le cou, la mâchoire ou le dos. La personne peut également présenter des nausées, des vomissements, un essoufflement, une transpiration excessive et une sensation de malaise général.

 Appeler les secours d’urgence

Dès que vous suspectez une crise cardiaque, appelez immédiatement les services d’urgence ou faites quelqu’un d’autre le faire. Plus vite les secours arrivent, meilleures sont les chances de survie.

 Administrer de l’aspirine

Si la personne est consciente et capable d’avaler, donnez-lui de l’aspirine à mâcher ou à avaler, à moins qu’elle ne soit allergique ou qu’un professionnel de la santé ne vous l’ait déconseillé.

 Commencer la RCP (Réanimation Cardio-Pulmonaire)

Si la personne cesse de respirer ou perd connaissance, commencez immédiatement la RCP en effectuant des compressions thoraciques. Placez la paume de votre main au centre de la poitrine de la personne, sur le sternum, et appuyez fermement d’environ 5 à 6 centimètres à un rythme d’environ 100 à 120 compressions par minute. Alternez les compressions thoraciques avec des insufflations (bouche-à-bouche) si vous avez été formé à cette technique.

 Utiliser un défibrillateur automatique externe (DAE)

Si un DAE est disponible, suivez les instructions pour l’utiliser. Ces appareils sont conçus pour administrer un choc électrique qui peut restaurer le rythme cardiaque normal en cas d’arrêt cardiaque.

Comment se sauver soi-même

Si vous ressentez des symptômes de crise cardiaque, comme une douleur thoracique, un essoufflement ou une sensation d’oppression, ne minimisez pas ces signes. Appelez immédiatement les secours d’urgence et arrêtez toute activité physique. Si vous avez de l’aspirine à portée de main et que vous n’êtes pas allergique, prenez-en immédiatement. Attendez les secours en position assise, en restant calme et en évitant tout effort physique.

En conclusion, être préparé et connaître les gestes de premiers secours en cas de crise cardiaque peut sauver des vies. En agissant rapidement et de manière appropriée, vous pouvez offrir à la personne en détresse la meilleure chance de survie et peut-être même sauver votre propre vie en cas d’urgence cardiovasculaire.

Kenya Airways annonce la reprise de ses vols vers Kinshasa après l’arrestation de deux membres de son personnel

La compagnie aérienne Kenya Airways a confirmé la reprise de ses vols à destination de Kinshasa, suspendus depuis le 30 avril dernier en raison de l’arrestation de deux de ses employés par les renseignements militaires congolais (DEMIAP). Cette annonce a été faite dans un communiqué rendu public le lundi 6 mai.

Les deux membres du personnel de Kenya Airways ont été appréhendés le 19 avril à l’aéroport international de N’djili par les services spéciaux de l’armée congolaise. Ils sont soupçonnés d’être impliqués dans une affaire liée à l’évacuation d’une importante somme d’argent, estimée à plusieurs millions de dollars américains, sans que les autorités de l’aéroport en soient informées, alors que cette somme était sur le point d’être expédiée.

Cette affaire a pointé du doigt la banque commerciale TMB, bien que cette dernière ait rejeté toute accusation à son encontre. Kenya Airways a continué à soutenir l’innocence de ses employés tout en se disant disposée à coopérer pleinement avec les enquêtes en cours.

Dans un extrait du communiqué, la compagnie aérienne affirme : « Nous tenons à réitérer que nos employés sont innocents et qu’ils ne font que suivre les procédures établies dans l’exercice de leurs fonctions. Nous défendons leur innocence et continuerons à les soutenir… Nous continuerons à coopérer avec les agences d’enquête et les autorités compétentes en RDC et au Kenya. »

L’arrestation des employés de Kenya Airways a suscité des tensions entre Kinshasa et Nairobi, au point que le président de la Commission de défense de l’Assemblée nationale du Kenya, Nelson Koech, a exprimé son inquiétude quant à la détention de civils par les forces armées, jugeant cette mesure disproportionnée.

Paul Rusesabagina, l’homme derrière « Hôtel Rwanda », parle de son calvaire et de sa lutte pour la justice

Paul Rusesabagina, le héros de « Hôtel Rwanda », a brisé le silence dans un entretien exclusif avec France 24, son premier depuis sa libération de prison. Gérant de l’hôtel des Mille Collines à Kigali pendant le génocide de 1994, il avait sauvé plus de mille personnes, Hutus et Tutsis confondus. Mais son opposition au régime de Paul Kagame l’a conduit derrière les barreaux, condamné pour terrorisme en 2021.

Dans cet entretien depuis les États-Unis, Rusesabagina a évoqué les événements tragiques de 1994, où il avait ouvert les portes de l’hôtel pour accueillir les réfugiés. Il a déploré le régime actuel du Rwanda, dirigé par Kagame, qu’il accuse de vouloir le faire taire, alléguant qu’il avait été piégé par les services secrets rwandais en 2020.

Malgré les pressions et la torture présumée en prison, Rusesabagina a trouvé un allié dans le gouvernement américain, qui a œuvré pour sa libération. Mais sa libération a été assortie de conditions strictes, notamment son silence public sur les affaires rwandaises, qu’il a finalement décidé de briser pour poursuivre sa lutte contre Kagame.

Sceptique quant à la réconciliation au Rwanda, Rusesabagina dénonce les violations des droits humains sous le régime de Kagame, citant un rapport de Human Rights Watch. Il appelle plutôt à un dialogue sincère entre Hutus et Tutsis pour parvenir à une véritable réconciliation, insistant sur le fait que la force ne peut pas réunir un pays divisé par la douleur et la violence.

Paul Rusesabagina, au-delà de son passé héroïque, se révèle être un homme qui continue de lutter pour la justice et la réconciliation dans son pays, même au prix de son propre bien-être.

La RDC intensifie sa lutte contre le paludisme avec l’introduction d’un nouveau vaccin en 2024

Le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) s’est engagé à renforcer ses efforts de lutte contre le paludisme en annonçant l’introduction d’un nouveau vaccin en 2024. Cette décision vise à réduire de manière significative la morbidité et la mortalité associées à cette maladie, en particulier chez les enfants de moins de cinq ans, particulièrement vulnérables.

Un atelier stratégique s’est tenu à Kinshasa du 29 avril au 5 mai, réunissant les acteurs clés du Programme élargi de vaccination (PEV) et du Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP), ainsi que des partenaires tels que l’UNICEF, l’OMS, GAVI et PATH. L’objectif principal était de concevoir un plan détaillé pour le déploiement efficace du nouveau vaccin antipaludique, le R21, en RDC.

La RDC, l’un des pays où le paludisme cause le plus de décès chez les enfants de moins de cinq ans, enregistre chaque année d’importantes pertes humaines liées à cette maladie. Les discussions lors de l’atelier ont donc porté sur la définition d’une feuille de route stratégique pour l’introduction du vaccin, la mise en place d’un modèle opérationnel pour son déploiement efficace, la communication pour susciter le soutien et la demande dans les communautés, ainsi que la formation des acteurs clés.

Le Dr Aline Maliwali, point focal du programme de vaccination antipaludique au PNLP, souligne l’importance de cette initiative dans la lutte nationale contre le paludisme. Elle considère ce nouveau vaccin comme une avancée significative dans la stratégie de santé publique du pays.

Les statistiques du PNLP indiquent que plus de 27 millions de cas de paludisme ont été enregistrés en RDC en 2022, entraînant la mort de près de 25 000 enfants cette même année. Malgré les efforts déployés ces dernières années, notamment la distribution de moustiquaires imprégnées et la mise en place de thérapies préventives, le paludisme reste un défi majeur pour la santé publique en RDC.

Le Dr Roger Kamba, ministre de la Santé, de l’Hygiène et de la Prévention, souligne l’importance de cette nouvelle stratégie dans son message à la nation lors de la 17ème journée mondiale de lutte contre le paludisme. Il rappelle que la vaccination antipaludique s’est avérée sûre et efficace lors des essais pilotes menés depuis 2019.

L’introduction progressive du vaccin en RDC commencera dans les provinces où le risque de paludisme est le plus élevé, avant de s’étendre à d’autres régions dans les années à venir. Cette démarche, soutenue par des partenaires techniques et financiers, marque une étape cruciale dans la lutte contre le paludisme en RDC et illustre l’engagement du gouvernement à protéger la santé des enfants et à réduire l’impact dévastateur de cette maladie endémique.

Appels à la cessation des hostilités au Congo

 La communauté internationale a vivement réagi aux récents bombardements sur un camp de déplacés à proximité de Goma, en République Démocratique du Congo (RDC), perpétrés ce vendredi 3 mai et ayant causé de nombreuses victimes civiles, dont des enfants.

La Belgique a fermement condamné cette attaque et toute violation du droit international humanitaire dans un communiqué. Le gouvernement belge a exigé que le Rwanda retire immédiatement ses forces armées du territoire congolais et cesse son soutien au groupe rebelle M23, responsable des récentes avancées militaires dans la région. Soulignant l’importance de la voie diplomatique et du processus de Luanda pour assurer une paix durable en RDC, la Belgique a appelé à des actions concrètes dans ce sens.

De son côté, la France a également exprimé une ferme condamnation des bombardements et a déploré l’escalade de la violence, en particulier l’utilisation d’armes lourdes près des zones habitées par des civils. Lors de la récente visite du président congolais Félix Tshisekedi à Paris, le président français a rappelé l’impératif pour le Rwanda de retirer ses troupes de la RDC. La France a réaffirmé son soutien aux initiatives régionales visant à résoudre la crise et a appelé à une action collective pour restaurer la paix dans la région.

Les États-Unis ont renforcé ces condamnations en accusant directement le Rwanda d’être derrière ces attaques meurtrières. Ils ont appelé à une action judiciaire contre les responsables pour garantir que justice soit faite et ont souligné l’importance de la stabilité dans la région des Grands Lacs pour la sécurité et le développement.

Ces déclarations internationales convergent vers un appel commun pour la cessation immédiate des hostilités et la nécessité de respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale de la RDC. Elles soulignent également la gravité des impacts de ce conflit sur les populations civiles, qui subissent de plein fouet les conséquences des affrontements armés et appellent à des mesures urgentes pour protéger les civils et restaurer la paix dans la région.

Le regroupement politique A/A UNC conteste les résultats dans la province du Lualaba

Le regroupement politique Action des Alliés de l’Union pour la Nation Congolaise (A/A UNC), dirigé par Vital Kamerhe, a déposé une requête à la Cour d’appel du Lualaba, agissant en qualité de Cour administrative, pour contester les résultats provisoires de l’élection du gouverneur et du vice-gouverneur dans la province du Lualaba.

Cette requête vise à annuler les résultats proclamant Masuka Saïni Fifi et Mufundji Tshinat Karl Clément comme gouverneure et vice-gouverneur provisoires de la province du Lualaba. Selon le document déposé, il est reproché à la gouverneure proclamée provisoirement par la Commission électorale nationale indépendante (CENI) d’avoir violé la Constitution, la loi électorale et le règlement intérieur de l’assemblée provinciale.

La requête, signée par Maître Benjamin Ndoly Ingange, souligne que la candidate Masuka Saïni Fifi n’était plus éligible au moment du vote, ayant déjà exercé deux mandats constitutionnels. Le regroupement A/A UNC cite l’article 198 alinéa 2 de la Constitution de la RDC, ainsi que les articles 158 et 170 de la loi électorale et l’article 23 de la loi numéro 08/012 du 31 juillet 2008 portant principes fondamentaux relatifs à la libre administration des provinces.

Une autre irrégularité soulevée par le regroupement politique A/A UNC est la violation de l’article 108 de la Constitution congolaise, qui stipule l’incompatibilité entre un mandat électif et celui de gouverneur en fonction. Outre la gouverneure provisoirement élue par la Commission électorale centrale, le regroupement A/A UNC accuse également les membres du gouvernement qui seraient dans la même situation.

Le procès en contentieux électoral devrait débuter ce mardi 7 mai 2024 à Kolwezi.

Reflexions et recommandations de la 5ème édition du Katanga Business Meeting (KBM) pour le développement intégral de la RDC

La 5ème édition du Katanga Business Meeting (KBM) s’est clôturée le samedi 4 mai, réunissant des experts nationaux et internationaux pour réfléchir sur plusieurs problématiques cruciales inscrites dans la vision globale de développement de la République démocratique du Congo (RDC).

La journée de vendredi a débuté par une cérémonie d’ouverture présidée par Nicole Ntumba Bwatshia, Directeur de cabinet adjoint du chef de l’État, chargé des questions politiques, juridiques et diplomatiques, suivie de deux panels. Le premier panel, composé de personnalités éminentes telles que les professeurs Jean-Luc Namegabe Mastaki, Directeur du Bureau sous-régional pour l’Afrique centrale-CEA, Robert Kalumba Malombo, PCA de la FEC, Lucine Hapi le moal, et le professeur Arthur Kaniki, a discuté des investissements et du financement des pôles industriels. Des recommandations importantes, notamment concernant l’éducation financière, ont émergé de ces discussions.

Le deuxième panel, comprenant des experts comme les professeurs Edouard Mutamba et le Dr Guy Muswil, ainsi que des représentants de grandes entreprises telles que Hugo Sinza de Tenke Fungurume Mining et Popol Mabolia Yenga de CAMI, s’est concentré sur le thème « Tirer parti des pôles industriels en RDC : quels bénéfices pour les acteurs économiques congolais et étrangers ? ».

La journée de samedi a également été riche en ateliers, panels, Meetup et masterclass. Par exemple, des représentants du secteur privé et de l’État congolais ont discuté de la politique des stages professionnels en tant que levier de développement des pôles industriels.

Lors de cet atelier, des représentants de l’INPP, de la FEC, de l’ONEM, ainsi que des partenaires de développement tels que l’Agence belge de développement, ont convenu de mutualiser leurs efforts pour rendre les stages professionnels accessibles. Les participants ont également proposé des solutions aux défis soulevés lors de cet échange.

Il convient de noter que c’est la deuxième fois consécutive que le Forum KBM se déroule dans la province du Lualaba. Le directeur général de cet événement multisectoriel d’envergure, Costas Munsuka, a justifié ce choix lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 2 mai, soulignant les importantes réserves minérales de la région et la mise en place de nouvelles zones économiques spéciales qui pourraient stimuler la croissance dans la région.

Les forces Wazalendo et les FARDC repoussent la coalition M23-RDF

La colline de Bitonga, autrefois occupée par la coalition M23-RDF, située à Masisi dans la province du Nord-Kivu, est désormais sous le contrôle des patriotes Wazalendo, soutenus par les forces armées loyalistes (FARDC).

Selon des sources locales relayées par la radio onusienne, les terroristes se sont repliés vers d’autres collines surplombant la cité de Minova, dans le territoire de Kalehe (Sud-Kivu), ce lundi 6 mai.

Cette avancée conjointe des FARDC et des Wazalendo survient après la chute de la cité minière stratégique de Rubaya, renfermant d’importants gisements de tantale, un minerai extrait du coltan, crucial dans la fabrication de smartphones.

Cependant, pendant ce temps, les terroristes du M23, appuyés par l’armée rwandaise, renforcent leurs effectifs et leurs arsenaux en provenance du Rwanda, en passant par différents points frontaliers, notamment Kibumba, Kabuhanga et le Parc national des Virunga.

Bilan de l’évaluation des opérations conjointes de lutte contre les terroristes islamistes au Nord-Kivu et en Ituri

Fin dimanche dernier, une évaluation exhaustive des opérations conjointes menées dans la région de Beni au Nord-Kivu et à Irumu, dans la province de l’Ituri, depuis le 30 novembre 2021, a été réalisée par le lieutenant général Jacques Ychalingonza Nduru, chef d’état-major général adjoint chargé des opérations et renseignements en RDC, ainsi que le lieutenant général Kayanza Muhanga, commandant des forces de l’armée ougandaise, selon des sources militaires.

Au cours de cette évaluation, le général major Richard Prit Dick Olum, commandant de la division de montagne, a exposé les réalisations des deux armées dans la lutte contre les terroristes islamistes MTM/ISCAP. Il a notamment souligné la neutralisation de plusieurs commandants de ce mouvement terroriste, la capture et la restitution des combattants Adf, ainsi que la récupération d’armes et d’autres effets militaires, incluant la libération d’otages au cours des différentes opérations. Cependant, Dick Olum a également identifié certaines difficultés rencontrées, telles que le mauvais état des réseaux routiers et les campagnes de désinformation sur les réseaux sociaux visant l’armée congolaise et ougandaise, lors des opérations Shujaa. Ces informations ont été rapportées par Antonny Muwalushayi, porte-parole des opérations Sokola 1 Grand Nord.

La Première Dame rencontre les boursiers du programme Excellentia en France

La Première Dame a récemment rencontré soixante-quatre boursiers du programme Excellentia, lors de leur séjour en France. Chaque année, la Présidente de la Fondation DNT visite un pays où évoluent les bénéficiaires du programme, afin de suivre de près leur parcours académique et leur intégration.

Lors de cette rencontre, la Première Dame a pris le temps d’écouter attentivement les préoccupations des étudiants, qu’il s’agisse de leurs cours, de leur intégration sociale ou de leurs ambitions futures. Elle a également rappelé son engagement à prodiguer des conseils bienveillants à ces jeunes comme une mère attentive à ses enfants.

Exprimant sa fierté pour les réalisations des boursiers, elle les a encouragés à continuer d’être des modèles pour la République Démocratique du Congo (RDC) et à contribuer au développement de leur pays. Elle a également promis de répondre aux préoccupations des étudiants pour garantir leur bien-être.

Du côté des boursiers, la rencontre avec la Première Dame a été source de joie et de réconfort. Pour eux, échanger avec celle qu’ils appellent affectueusement « Maman » était une occasion précieuse.

Le programme Excellentia, qui forme une nouvelle élite congolaise, en est à sa cinquième édition avec un total de 315 boursiers nationaux et internationaux. La Première Dame a exprimé sa satisfaction d’avoir partagé des moments privilégiés avec les boursiers en France et a souligné son engagement envers la quête d’une nouvelle élite pour la RDC.

Dans une déclaration sur les réseaux sociaux, elle a encouragé les boursiers à poursuivre sur la voie de l’excellence et à contribuer à façonner l’avenir de leur pays.