Meurtre de Patrick Numbi Banza : Le gouverneur du Haut-Katanga offre une récompense de 5 000 dollars

Le gouverneur du Haut-Katanga, Jacques Kyabula, a appelé la population, en particulier celle de Lubumbashi, à s’unir pour dénoncer les criminels qui sèment la terreur dans la région. À cette occasion, le Comité provincial de sécurité a annoncé une récompense de 5 000 dollars américains pour toute information permettant de résoudre le meurtre du journaliste Patrick Adonis Numbi Banza, tué à coups de machette le 7 janvier dernier, alors qu’il rentrait chez lui après le service.

Dans un communiqué officiel consulté par le lundi 13 janvier, le gouverneur Kyabula a exprimé son indignation après avoir été informé du meurtre du journaliste et a ordonné à ses services de renseignements et de sécurité de tout mettre en œuvre pour identifier, localiser et traduire en justice les responsables de ce crime, toujours en fuite.

Le gouverneur a reçu successivement le commissaire provincial de la Police nationale congolaise, la famille du défunt, accompagnée de sa veuve, ainsi que des représentants des médias. Les échanges ont permis de rappeler l’importance de renforcer les mesures de sécurité et d’assurer à la famille du défunt et aux professionnels des médias que l’autorité provinciale poursuivra les enquêtes jusqu’à leur conclusion.

Dans son communiqué, Jacques Kyabula a salué l’engagement civique de la population et a insisté sur la nécessité pour les forces de l’ordre et de sécurité de faire preuve de vigilance pour prévenir de nouveaux drames. Ce meurtre tragique, survenu dans un contexte de hausse de l’insécurité à Lubumbashi, a profondément ému la ville et ravivé les préoccupations liées à la sécurité publique.

Nord-Kivu : Intenses combats entre les FARDC et le M23 dans le territoire de Lubero

Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) affrontent violemment les rebelles du M23 dans le territoire de Lubero, au Nord-Kivu. Les combats, particulièrement intenses ce mardi 14 janvier, touchent les villages de Kibanda, entre Luofu et Kayna.

Depuis lundi matin, l’armée congolaise mène une offensive renforcée en pilonnant les positions ennemies. Cette situation a poussé les habitants à suspendre leurs activités. Selon des témoins, des tirs d’armes lourdes ont été entendus depuis Luofu en direction de Kayna. « Les boutiques et magasins sont fermés à Kikuvo depuis hier. De nombreux élèves ont quitté les écoles par crainte pour leur sécurité », rapporte une source locale.

Les FARDC ont consolidé leurs positions à Mambasa pour repousser les rebelles, tandis que le M23 a érigé des fortifications pour bloquer toute avancée vers Alimbongo. Dans d’autres zones comme Paysana et Kiranga, des affrontements violents sont signalés. Les habitants de Kirumba et Kayna confirment avoir entendu des explosions, traduisant la gravité des combats.

« Des tirs d’armes lourdes et légères retentissent à Kamandi, Kikuvo et l’Est de Luofu. L’armée semble avancer vers Kayna, contrôlée par le M23. Mais nous craignons des replis stratégiques comme ailleurs. Le gouvernement doit revoir ses stratégies, car la diplomatie n’a pas fonctionné », déplore Muhindo Tafuteni, président de la société civile de Lubero.

L’armée dément les rumeurs selon lesquelles le M23 aurait quitté Kirumba et Kayna sans affrontements. Les FARDC poursuivent leurs opérations, ayant déjà repris certaines localités, dont Mambasa.

La population de Lubero reste en alerte, dans l’attente de solutions durables pour rétablir la sécurité dans la région.

Patrick Muyaya:Le Gouvernement congolais envisage d’étendre la gratuité de l’enseignement au secondaire

Le Gouvernement congolais examine actuellement la possibilité d’étendre la gratuité de l’enseignement au secondaire. Patrick Muyaya, porte-parole du Gouvernement et ministre de la Communication et des Médias, a partagé cette information lors d’une interview exclusive à Radio Okapi, ce lundi 13 janvier 2025.

La gratuité de l’enseignement : Un projet en consolidation

La gratuité de l’enseignement est déjà appliquée au primaire. Le ministre a précisé que cette mesure est en consolidation et que le gouvernement songe à l’étendre au secondaire. Il a affirmé :

« Le Gouvernement étudie la possibilité de l’étendre au niveau du secondaire. »

Un engagement du Président de la République

Ce projet découle des engagements pris par le Président de la République. Il vise à garantir un accès à l’éducation pour tous. Cela s’inscrit dans une stratégie globale pour améliorer le développement social et éducatif du pays.

Amélioration du pouvoir d’achat : Des progrès significatifs

Patrick Muyaya a évoqué l’amélioration du pouvoir d’achat des Congolais. Selon lui, des progrès notables ont été réalisés sous la gestion de la Première ministre, madame Suminwa. Il a ajouté :

« Le taux de changement et le cadre macro-économique sont plutôt stables depuis que madame Suminwa dirige le gouvernement. »

Des mesures concrètes pour alléger le coût de la vie

Le gouvernement a mis en place des mesures pour réduire les prix des carburants et des produits de première nécessité. Ces actions permettent d’alléger le coût de la vie pour les ménages congolais.

Des efforts continuent pour une meilleure qualité de vie

Patrick Muyaya a souligné que le Gouvernement doit poursuivre ses efforts pour répondre aux attentes des citoyens. Il a insisté sur l’importance de stimuler la production locale. Cela permettra aux Congolais de vivre dignement grâce à leurs revenus.

« Nous devons accroître la production locale et permettre aux Congolais de vivre dignement avec leurs revenus. »

Patrick Muyaya accuse le Rwanda et promet une riposte multidimensionnelle

Lors de son intervention ce lundi 13 janvier 2025 sur Radio Okapi, Patrick Muyaya, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC), a vivement réagi au dernier rapport du groupe des experts des Nations Unies. Ce document accuse une nouvelle fois le Rwanda de soutenir des groupes terroristes responsables de pillages et de crimes en RDC.

« Une nouvelle fois, comme devenu coutume, le Rwanda a été attrapé la main dans le sac, » a déclaré Patrick Muyaya, dénonçant les stratégies répétées de déni adoptées par Kigali face à ces accusations.

Il a fustigé ce qu’il appelle l’« Empire du Mensonge », en pointant du doigt une campagne massive de désinformation orchestrée par le Rwanda. Selon lui, cette stratégie inclut la création de faux comptes sur les réseaux sociaux pour semer la confusion et tenter de dissimuler la vérité.

« Ni le reniement permanent, ni le mensonge quotidien encore moins la manipulation à outrance ne pourra changer les faits, » a-t-il martelé, avant de réaffirmer la détermination du gouvernement congolais à répondre à cette crise.

Patrick Muyaya a détaillé les efforts multidimensionnels en cours pour mettre un terme à la guerre : « Par les fronts militaire, diplomatique, économique, judiciaire et médiatique, nous mettrons fin à vos aventures sur notre sol. »

Le ministre a également profité de cette occasion pour expliquer aux auditeurs les démarches entreprises par la RDC afin de rétablir la paix et la stabilité dans le pays.

Rutshuru : Les « wazalendo » intensifient leur lutte contre le M23

Les combats ont repris avec intensité ce lundi 13 janvier 2025 à Rutshuru, dans le Nord-Kivu. Les FARDC, soutenues par les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP), surnommés « wazalendo », mènent une offensive contre la coalition M23/RDF. Leur objectif est de déloger les M23 de la localité de Kiseguro, située à 20 km de Kiwanja, dans la chefferie de Bwisha.

Offensive des « wazalendo » :

Les forces loyalistes, appuyées par les wazalendo, ont intensifié leur action à Kiseguro. Selon Isaac Kibira, fonctionnaire délégué adjoint du gouverneur, ces forces mènent des attaques contre les positions du M23. « Les wazalendo traquent le M23 dans cette zone. En conséquence, la population se cache alors que les combats font rage », a-t-il expliqué. En outre, il a souligné que la population souffre grandement de la violence des affrontements. « Nous demandons au gouvernement de soutenir les VDP pour libérer Rutshuru et permettre aux déplacés de rentrer chez eux », a-t-il ajouté.

Embuscades et pertes pour le M23 :

Par ailleurs, des sources locales ont rapporté qu’un convoi de renfort du M23 a été attaqué par les wazalendo sur l’axe Tongo-Kanaba. L’embuscade a causé de lourdes pertes en hommes et en munitions pour la coalition M23/RDF. Cette action témoigne de la détermination des forces locales à reprendre le contrôle des régions occupées par le M23.

Meurtres de civils à Kinyangobe :

Le 9 janvier 2025, cinq civils ont été tués à Kinyangobe, un village situé entre les groupements de Binza et Bukoma. Les victimes étaient des agriculteurs travaillant dans leurs champs. D’après plusieurs sources locales, les éléments du M23 sont responsables de ces meurtres. Cela reflète la brutalité croissante de la coalition M23 dans les zones qu’elle contrôle depuis plus de deux ans.

Affrontements à Nyiragongo et Masisi :

De plus, à Kibumba, dans le territoire de Nyiragongo, les combats se sont intensifiés près de Kalaké, au pied du volcan Nyiragongo. La société civile locale affirme que les FARDC et les wazalendo ont répliqué aux attaques répétées du M23/RDF. Des obus ont été tirés depuis le Rwanda, dans le district de Rubavu, frappant des positions des forces loyalistes. En outre, sur l’axe Sake-Kimoka, bien que la situation soit légèrement plus calme, des affrontements ont eu lieu dimanche sur les collines dominant Sake, à 27 km de Goma.

La situation dans le Nord-Kivu reste extrêmement tendue, avec des affrontements qui continuent de dévaster la région. Les forces loyalistes, soutenues par les wazalendo, mènent une lutte acharnée pour reprendre le contrôle de Rutshuru et des autres territoires occupés par le M23. Ainsi, la population locale paie un lourd tribut dans ces combats, et les appels à l’aide se multiplient.

Prêtrise et homosexualité : les nouvelles directives italiennes qui font débat

La Conférence épiscopale italienne a publié, vendredi, de nouvelles orientations pour la formation des prêtres. Ces directives, bien qu’ambiguës, semblent ouvrir un débat sur l’ordination des hommes homosexuels, tout en restant fidèles à certaines restrictions traditionnelles.

Le document intitulé « Orientations et normes pour les séminaires » recommande de ne pas réduire le discernement vocationnel à l’orientation sexuelle d’un candidat. Il invite plutôt à analyser ce facteur dans le contexte global de la personnalité du futur prêtre. Cependant, le texte réitère l’exigence de chasteté pour tous les prêtres, quelle que soit leur orientation sexuelle.

Malgré ces évolutions, les hommes « pratiquant l’homosexualité, présentant des tendances homosexuelles profondes ou soutenant la culture gay » demeurent officiellement exclus de l’ordination, selon l’enseignement actuel de l’Église catholique. Les femmes, quant à elles, restent exclues de la prêtrise, indépendamment de leur sexualité.

Un Pape entre ouverture et conservatisme
Depuis son pontificat, le pape François a adopté une attitude plus inclusive envers la communauté LGBTQ. En 2023, il a déclaré que « être homosexuel n’est pas un crime » et a approuvé les bénédictions pour les couples de même sexe, tout en réaffirmant que le mariage sacramentel est réservé à un homme et une femme.

Pourtant, François a également tenu des propos controversés, notamment en mai 2023, lorsqu’il a dénoncé ce qu’il appelle la « frociaggine » dans certains séminaires, un terme vulgaire et insultant pour désigner les homosexuels. Cette déclaration, perçue comme un affront, a suscité des réactions mitigées au sein de la communauté catholique et au-delà.

Ces nouvelles directives soulèvent de nombreuses questions sur l’évolution de l’Église face à la diversité des vocations et à la place des personnes LGBTQ dans ses institutions. Si elles marquent un pas vers davantage de nuances, elles reflètent aussi les tensions persistantes entre tradition et modernité.

Est de la RDC : Les FARDC repoussent le M23, l’étau se resserre autour du Rwanda

La presse congolaise de ce lundi 13 janvier 2025 revient largement sur la crise dans l’Est du pays, où les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont repris plusieurs localités stratégiques des mains du M23, soutenu par le Rwanda. Cette avancée militaire s’accompagne également d’un appel à la communauté internationale face aux preuves accablantes du soutien rwandais aux rebelles.

La contre-offensive des FARDC

Selon Info 27, les FARDC ont réussi à stopper l’offensive prédatrice du M23, visant notamment le gisement minier de Kabingo dans le Sud-Kivu. Des positions clés, telles que les crêtes de Bitagata et Kamakale, surplombant la cité de Lumbishi dans le territoire de Kalehe, ont été reprises, de même que les localités de Ruziratanka, Kamatale, Bigatala et Kabingo.

La Tempête des Tropiques rapporte que la reprise de la cité de Ngungu, dans le nord de Masisi (Nord-Kivu), depuis le 7 janvier, constitue une victoire majeure. Située à proximité de Rubaya, riche en coltan, Ngungu représentait un point stratégique pour les activités du M23 et les intérêts rwandais dans la région.

L’implication internationale

La crise a été évoquée lors d’une rencontre entre les présidents Denis Sassou Nguesso du Congo et João Manuel Lourenço de l’Angola à Brazzaville. Comme le souligne Eco News, ces derniers ont exprimé leur profonde préoccupation face à la persistance des combats en RDC et lancé un appel à la communauté internationale pour une assistance humanitaire accrue en faveur des réfugiés et déplacés internes.

Un rapport accablant contre le Rwanda

La Tempête des Tropiques et Info 27 soulignent les conclusions d’un rapport des Nations Unies qui accable le Rwanda. Ce document révèle le soutien militaire rwandais au M23, notamment l’apport d’armes sophistiquées provenant d’une puissance extérieure. Ces armes seraient à l’origine des avancées des rebelles dans certaines localités congolaises.

Face à ces révélations, le gouvernement congolais appelle la communauté internationale à réagir. Selon Mediacongo.net, Kinshasa exhorte à l’instauration de sanctions contre le Rwanda et invite les Nations Unies à assumer leurs responsabilités.

Le rôle de la communauté internationale

Face aux preuves accablantes, la communauté internationale est placée devant un choix crucial : rester dans l’inaction ou soutenir activement la paix et la souveraineté de la RDC. Comme le commente Congo Nouveau, le gouvernement congolais insiste sur la nécessité d’actions concrètes pour mettre fin à l’ingérence rwandaise et aux exactions dans l’Est du pays.

Les FARDC poursuivent leur avancée, et les regards restent tournés vers une mobilisation internationale qui tarde à venir.

Embuscade mortelle: Les FARDC/ Wazalendo infligent une défaite écrasante au M23

Rusthuru-10 janvier 2024-Les terroristes rwandais du M23, responsables de nombreuses exactions sur le sol congolais, ont essuyé ce vendredi 10 janvier 2025 une défaite cuisante dans le territoire de Rutshuru. Des jeunes combattants Wazalendo du mouvement CMC ont tendu une embuscade à un convoi du M23 sur l’axe stratégique Tongo-Kanaba.

Selon le Général Dominique Kamanzi, commandant du mouvement CMC/VDP, l’attaque a été un succès retentissant pour les patriotes congolais. Les assaillants ont réussi à détruire un Land Cruiser du M23, tuant tous les occupants du véhicule, sans aucun survivant. « Nous avons neutralisé une jeep de l’ennemi avec tout son équipage. Il n’y a eu aucun survivant. Le bilan humain est très lourd », a-t-il affirmé dans une vidéo.

Cette embuscade a fait près de 20 morts parmi les éléments du M23-RDF, dont des officiers, et plusieurs blessés graves, selon des sources locales. Le Général Kamanzi a salué la détermination du président de la République, Félix Tshisekedi, qui a déclaré qu’il ne négocierait jamais avec les terroristes du M23-RDF. « Sa détermination est une motivation à continuer de résister face aux agresseurs », a ajouté Kamanzi.

Les Wazalendo poursuivent leur lutte pour protéger leur pays et repousser les forces rwandaises, affirmant que ces derniers jours du M23 en République Démocratique du Congo sont désormais comptés.

Afflux massif de déplacés à l’hôpital générale de Masisi

Masisi, Nord-Kivu, jeudi 9 janvier 2025 – Plus de dix mille personnes déplacées ont trouvé refuge en urgence à l’hôpital général de Masisi et à la base de Médecins sans frontières (MSF). Cette situation découle des combats persistants entre les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, et les FARDC appuyées par les combattants Wazalendo.

Romain Briey, coordinateur du projet MSF à Masisi, exprime ses inquiétudes : « Les installations sanitaires ne suffisent plus à répondre aux besoins essentiels. Les latrines débordent, et le manque d’acteurs humanitaires complique nos efforts pour gérer la crise. »

En plus de la prise en charge de 77 blessés de guerre et des soins réguliers, MSF s’efforce d’assurer un accès minimal à l’eau potable et aux soins de santé pour les familles réfugiées. Cependant, l’organisation humanitaire met en garde contre une pénurie alimentaire imminente si la situation perdure.

La sécurité des patients, des équipes médicales, et des réfugiés reste une priorité pour MSF, qui appelle toutes les parties au conflit à respecter les installations sanitaires et humanitaires.

En raison de l’intensité des combats, MSF rencontre des difficultés pour déployer des équipes dans d’autres zones du territoire ou transférer des patients critiques vers Goma. Cette entrave complique également l’évaluation des besoins réels dans cette région affectée par une crise humanitaire grandissante.

 

Le Vice-Premier Ministre Guy Kabombo Muadiamvita rencontre les nouveaux Officiers du Haut Commandement des FARDC

Kinshasa, RDC, vendredi 10 janvier 2025 –K À la suite de la réunion du Haut Conseil de Défense, le Vice-Premier Ministre et Ministre de la Défense Nationale, Guy Kabombo Muadiamvita, a accueilli ce matin une délégation des officiers du haut commandement des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC). La délégation était conduite par le nouveau Chef d’État-Major Général, le Lieutenant-Général Jules Banza Mwilambwe.

Cette rencontre a permis de passer en revue les questions liées à la sécurité sur l’ensemble du territoire national. Les discussions ont porté sur les priorités opérationnelles et les perspectives pour renforcer les capacités des FARDC, conformément à la vision du Commandant Suprême et Chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Le ministre Guy Kabombo a souligné l’importance d’une collaboration renforcée entre les différents corps de l’armée et d’une amélioration des performances des unités. Il a réaffirmé son engagement à mettre en œuvre les moyens nécessaires pour assurer l’efficacité des FARDC à tous les niveaux.