La RDC Face à un Génocide Économique Oublié

Le président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a inauguré, ce lundi 31 mars 2025, la table ronde du GENOCOST au Centre culturel international de Kinshasa. Cette initiative vise à reconnaître un génocide économique ignoré, perpétré à travers le pillage des richesses et les massacres de masse en République Démocratique du Congo (RDC).

Une Exposition Choc pour Réveiller les Consciences

Avant l’ouverture officielle, le couple présidentiel, Félix Tshisekedi et Denise Nyakeru, a exploré une exposition retraçant ces tragédies. Les crimes documentés s’étendent de Makobola à Kishishe, en passant par Kisangani, Lubero, Bukavu et Mwenga. L’objectif est clair : montrer l’ampleur des exactions et sensibiliser l’opinion publique.

Un Programme pour Graver Cette Histoire dans la Mémoire Collective

Les organisateurs, CIA-VAR et FONAREV, ont détaillé un plan d’action concret :

Inscrire ces événements dans les programmes scolaires et universitaires

• Intégrer cette réalité dans les médias et les discours officiels

• Créer un langage commun favorisant une prise de conscience collective

Cette approche vise à préserver la mémoire des victimes et à promouvoir une culture de paix.

Un Engagement Présidentiel pour la Vérité et la Justice

Félix Tshisekedi a appelé les Congolais à s’approprier cette histoire. Il a aussi annoncé la création d’un groupe d’experts chargé d’évaluer les pertes humaines et économiques causées par ces crimes de masse. L’objectif est de chiffrer ces préjudices et d’ouvrir la voie à une reconnaissance officielle.

Un Bilan Accablant Passé Sous Silence

Depuis 30 ans, la RDC subit un génocide motivé par des intérêts économiques. Les chiffres sont alarmants :

10 millions de morts

• 6 millions de déplacés internes

• 27 millions de personnes en situation critique, principalement des femmes et des enfants

• Plus de 200 fosses communes recensées dans le Grand Kivu

Malgré l’ampleur de ces crimes, la communauté internationale est restée silencieuse.

Un Premier Pas Vers la Justice et la Réparation

Le lancement du GENOCOST marque une étape cruciale. La RDC s’engage dans un travail de mémoire et de justice. Cette table ronde ouvre la voie à des actions concrètes pour que ces crimes ne tombent pas dans l’oubli et que leurs responsables soient jugés.

• 6 millions de déplacés internes

• 27 millions de personnes en situation critique, dont des femmes et des enfants

• Plus de 200 fosses communes recensées dans le Grand Kivu

Malgré cette tragédie humanitaire, ce génocide économique reste largement méconnu et peu médiatisé.

Une Étape Clé pour la Mémoire et la Justice en RDC

Avec le lancement du GENOCOST, la RDC franchit une nouvelle étape vers la reconnaissance de ces crimes. Ce travail de mémoire et d’enquête s’inscrit dans une volonté plus large de réconciliation nationale, de justice et de développement durable.

Cette initiative ouvre la voie à des actions concrètes pour que les victimes ne soient plus oubliées et que les crimes ne restent pas impunis.

Joie des militaires et policiers après le doublement de leurs soldes

L’enthousiasme était au rendez-vous ce vendredi 28 mars 2025 aux guichets des banques de Kinshasa, où militaires et policiers ont découvert avec joie le doublement de leurs soldes. Cette augmentation, annoncée par le ministre des Finances, marque une avancée majeure dans l’amélioration des conditions de vie des Forces armées de la RDC (FARDC) et de la Police nationale congolaise.

Une augmentation historique

Pendant des années, un adjudant de première classe percevait 262 000 francs congolais (environ 100 USD). Ce mois-ci, il a reçu 504 000 francs, une somme qui lui permettra d’entamer les travaux d’aménagement de sa maison au camp militaire Kokolo.

Au guichet de la banque BOA à Ndjili, des militaires et policiers affichaient une euphorie collective, ravis de voir le gouvernement honorer ses engagements. « Nous sommes enfin revalorisés, cela nous motive à mieux servir notre pays », confie un sergent de la Police nationale.

Un engagement fort du gouvernement

Dans un communiqué officiel, le ministre des Finances a remercié le Chef de l’État pour cet acte historique. Il espère que cette revalorisation permettra aux forces de l’ordre de travailler avec encore plus de dignité et de détermination, surtout dans ce contexte difficile marqué par la guerre contre la rébellion du M23/AFC, soutenue activement par le Rwanda, selon plusieurs rapports de l’ONU.

Cette hausse des rémunérations est une reconnaissance du sacrifice des militaires et policiers congolais et un pas vers l’amélioration de leur moral et efficacité sur le terrain.

Goma : la SADC et l’AFC/M23 actent le retrait immédiat de la SAMIDRC

Ce vendredi 28 mars, une réunion stratégique s’est tenue à Goma. Elle a réuni les chefs d’état-major des forces de défense de la SADC et les responsables de l’Alliance Fleuve Congo/M23. L’objectif était de fixer les modalités du retrait immédiat de la SAMIDRC de la ville.

Des représentants militaires du Malawi, de la Zambie, de la Tanzanie et de l’Afrique du Sud ont pris part aux discussions. Le professeur Kula I. Theletsane, directeur de l’Organe politique, défense et sécurité de la SADC, était aussi présent. Du côté de l’AFC/M23, le général Sultani Makenga, le brigadier-général Bernard Byamungu et le gouverneur du Nord-Kivu désigné par la rébellion, Bahati Musanga Erasto, ont participé aux échanges.

Les deux parties ont réaffirmé leur engagement en faveur d’un cessez-le-feu. L’AFC/M23 s’est engagé à faciliter le départ immédiat des troupes de la SADC avec leurs armes et équipements. Cependant, les matériels des FARDC actuellement sous son contrôle resteront sur place.

Pour accélérer le retrait, une évaluation conjointe de l’aéroport de Goma aura lieu. Cette initiative vise à préparer sa réouverture et à organiser le départ de la mission de la SADC.

Un rendez-vous de suivi sera organisé à une date et dans un lieu encore à définir. Les participants ont insisté sur l’importance d’appliquer les engagements pris et de rechercher une solution pacifique au conflit.

La déclaration conjointe a été signée à Goma par le général Sultani Makenga pour l’AFC/M23 et par le général Ibrahim M. Mhona pour la SADC.

Renforcement des FARDC : première cohorte de recrues du Maniema arrivée à Kinshasa

Le jeudi 27 mars, 100 jeunes recrues originaires de la province du Maniema ont quitté Kindu pour Kinshasa, où elles intègreront les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC). Cette première cohorte marque une nouvelle étape dans le renforcement des effectifs militaires face aux défis sécuritaires du pays.

Avant leur départ, le gouverneur du Maniema, Mussa Kabwankubi Moïse, a exhorté ces volontaires à faire preuve de discipline et de dévouement, les encourageant à porter haut les couleurs de leur province. Il a également annoncé qu’une deuxième cohorte de recrues, issues de différents territoires, rejoindra bientôt le centre de formation.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale de renforcement des capacités des FARDC, visant à assurer une meilleure protection du territoire et à faire face aux défis sécuritaires auxquels la RDC est confrontée.

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le Rwanda dénonce la partialité de l’ONU et défend ses mesures sécuritaires

Devant le Conseil de sécurité de l’ONU, ce jeudi 28 mars, le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Jean Patrick Nduhungirehe, a critiqué la gestion du conflit en République démocratique du Congo (RDC) par la communauté internationale. Il a dénoncé une partialité onusienne, pointé du doigt l’inaction face aux Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et défendu les mesures sécuritaires adoptées par Kigali.

Une attaque contre la MONUSCO et Kinshasa

Lors de son intervention, le chef de la diplomatie rwandaise a reproché à la MONUSCO son « échec à neutraliser les groupes armés », notamment les FDLR, qu’il qualifie de « milice génocidaire ». Il a accusé Kinshasa d’avoir intégré des combattants FDLR dans son armée et de leur avoir fourni armes et ressources, renforçant ainsi l’instabilité régionale.

« La MONUSCO a échoué à remplir son mandat depuis 25 ans », a martelé M. Nduhungirehe, dénonçant un récit biaisé sur la situation sécuritaire en RDC et la présence de mercenaires européens au sein des forces congolaises.

Accusations de discriminations contre les Tutsi congolais

Le ministre rwandais a également dénoncé des exactions contre les populations Tutsi en RDC, évoquant :

  • L’incendie de 300 maisons tutsi à Masisi en octobre 2023.

  • Les bombardements de villages banyamulenge au Sud-Kivu par l’armée congolaise depuis février 2024.

« Où était la MONUSCO ? », a-t-il interrogé, accusant l’ONU de fermer les yeux sur une « épuration ethnique ».

Soutien aux initiatives africaines et rejet des sanctions

Malgré ses critiques, Kigali a réaffirmé son engagement en faveur des initiatives africaines pour la paix, notamment la fusion des processus de Luanda et de Nairobi décidée par l’EAC et la SADC en février dernier.

Dans un contexte marqué par la prise de Goma par le M23 en janvier 2025, le ministre rwandais a rejeté toute responsabilité de son pays, insistant sur le fait que le conflit n’a pas été déclenché par le Rwanda.

« Ce fardeau a été placé sur nos épaules », a-t-il affirmé, appelant à éviter un « jeu de blâme stérile ».

Alors que Félix Tshisekedi poursuit ses consultations diplomatiques, notamment avec João Lourenço à Luanda, et que le Qatar s’affirme comme un nouvel acteur clé du processus de médiation, la position de Kigali souligne la complexité du dossier sécuritaire en RDC.

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RDC – Angola : Tshisekedi et Lourenço réaffirment leurs relations malgré la fin de la médiation

Le président Félix Tshisekedi s’est rendu à Luanda ce mercredi. Il a rencontré son homologue angolais João Lourenço, moins de deux semaines après la fin de la médiation angolaise entre Kinshasa et Kigali.

Un dialogue bilatéral malgré les tensions

À l’issue de l’entretien, Antonio Tete, chef de la diplomatie angolaise, a affirmé que les deux dirigeants souhaitent préserver de bonnes relations. Ils ont convenu de maintenir un dialogue régulier, malgré la fin du rôle de médiateur de l’Angola. Luanda préfère désormais se consacrer à ses responsabilités à la présidence tournante de l’Union africaine.

Une crise diplomatique persistante

Cette rencontre intervient après un échange direct entre Tshisekedi et Kagame à Doha, au Qatar. Cette initiative a surpris Luanda. En décembre 2024, un dialogue prévu à Luanda avait échoué. Kigali exigeait une rencontre directe entre Kinshasa et les rebelles de l’AFC/M23, ce que la RDC a refusé.

Plus récemment, Kinshasa avait accepté de discuter avec l’AFC/M23 dans le cadre du processus de Luanda. Mais cette fois, les rebelles ont refusé, dénonçant les sanctions européennes contre certains de leurs chefs. Face à ces échecs, l’Angola a décidé de se retirer du processus.

Une nouvelle approche régionale

Alors que Luanda se recentre sur l’Union africaine, les chefs d’État de la SADC et de l’EAC ont fusionné les processus de Luanda et de Nairobi. Un panel de cinq facilitateurs a été désigné. Leur mission :

  • Relancer le dialogue politique

  • Éviter une nouvelle escalade militaire

  • Établir un mécanisme de vérification du cessez-le-feu

Parallèlement, le Qatar joue un rôle discret. Il maintient un canal de discussion entre Kigali et Kinshasa pour tenter d’apaiser les tensions.

Walikale : Le M23/AFC continue de renforcer ses troupes malgré l’annonce d’un repositionnement

Alors que la rébellion de l’AFC/M23 avait annoncé son repositionnement à Walikale pour donner une chance au processus de paix, la réalité sur le terrain semble bien différente. Des renforts militaires continuent d’arriver dans la cité, aussi bien par voie aérienne que terrestre, selon des sources locales.

Un avion a atterri ce mercredi 26 mars 2025 à l’aérodrome de Kigoma, effectuant au moins sa septième rotation pour acheminer des soldats. Parallèlement, d’autres éléments armés sont entrés par la route depuis Goma.

« Il y a encore un nouveau renfort du M23 qui vient d’arriver en passant par l’axe Goma-Walikale », a confirmé une source locale mardi soir.

Dans Walikale-centre, un retour timide de la population est observé. Certains habitants circulent et commencent à se ravitailler dans un petit marché proche de l’hôpital général, où de nombreuses familles ont trouvé refuge.

Une situation militaire tendue

Face à ces mouvements, l’armée congolaise (FARDC) renforce également ses positions. Des troupes supplémentaires ont été déployées à Boboro, situé à 24 km de Walikale-centre, ainsi qu’à Biruwe, où se trouve une importante base militaire.

Alors que le Rwanda a salué la décision du M23 de se repositionner, cette montée en puissance des rebelles suscite des inquiétudes quant à la sincérité du processus de paix. La situation à Walikale reste donc hautement instable et sous tension.

L’Est du pays « totalement non gouverné », selon l’envoyé spécial de Donald Trump

De retour d’une mission en Afrique centrale, Ronny Jackson, membre du Congrès américain et envoyé spécial de Donald Trump, a dressé un tableau inquiétant de la situation sécuritaire en République démocratique du Congo. Lors d’une intervention devant une commission du Congrès, il a affirmé que l’Est de la RDC est une zone « totalement non gouvernée », où les autorités de Kinshasa n’ont plus les moyens d’imposer leur autorité.

Selon lui, malgré des ressources naturelles colossales estimées à des dizaines de milliers de milliards de dollars, la RDC peine à les exploiter en raison de l’insécurité persistante. Il accuse l’Ouganda, le Rwanda et le Burundi d’exploiter les minerais congolais sans aucun contrôle :

« Tout le monde le fait, et il n’y a rien pour les arrêter. »

Le M23, groupe rebelle actif dans la région, opère « sans réelle opposition », selon Jackson, affirmant que les FARDC « ne combattent même pas » et que certaines unités rejoignent les rangs rebelles.

Un appel à l’inclusion politique du M23

L’envoyé spécial américain identifie un problème interne lié à l’identité des membres du M23, dont beaucoup ne sont pas reconnus comme citoyens congolais. Il préconise leur intégration politique et sociale, allant jusqu’à suggérer leur incorporation dans les forces armées congolaises pour stabiliser la région.

Tensions entre Tshisekedi et Kagame : un obstacle à la paix ?

Ronny Jackson pointe aussi du doigt la détérioration des relations entre Félix Tshisekedi et Paul Kagame, estimant que leur rivalité personnelle entrave les efforts diplomatiques. Il propose une coopération économique régionale, notamment via le raffinage des minerais dans plusieurs pays pour inciter chacun à garantir la sécurité.

Un climat des affaires toxique

Au-delà de la sécurité, Jackson fustige la corruption et les pratiques arbitraires qui freinent les investissements étrangers. Il cite l’exemple d’une entreprise suisse ayant reçu une facture fiscale de 80 milliards de dollars, réduite après réclamation à un milliard, soit des centaines de fois son bénéfice annuel.

Il accuse certains responsables congolais de s’enrichir massivement, pendant que la population continue de souffrir.

« Je ne sais pas encore quelle est la solution, mais tant qu’on ne règle pas ces problèmes, le reste ne comptera pas. »

Le constat est accablant. Reste à savoir si ces critiques ouvriront la voie à des actions concrètes pour stabiliser et développer l’Est de la RDC.

UBA s’installe à Matadi : une expansion stratégique face à la concurrence

Le mardi 25 mars 2025 marque une étape clé pour United Bank for Africa (UBA) en République démocratique du Congo. Après Kinshasa et Lubumbashi, la banque nigériane poursuit son expansion en inaugurant sa première agence à Matadi, chef-lieu du Kongo Central.

Désormais 12ᵉ institution financière agréée dans la ville, UBA fait face à une concurrence déjà bien installée. Un défi que la banque entend relever avec des stratégies adaptées, comme l’a souligné Gisèle Bondo, directrice générale adjointe d’UBA en RDC :

« Nous avons mis en place des stratégies solides pour nous imposer sur ce marché concurrentiel. De plus, nous avons pris en compte les attentes des autorités locales en intégrant la main-d’œuvre de Matadi dans notre projet. »

L’inclusion bancaire des habitants du Kongo Central est une priorité pour les autorités locales, qui comptent sur UBA pour accompagner les entrepreneurs et moderniser les services financiers.

« Nous espérons qu’UBA jouera un rôle clé en facilitant l’accès aux services bancaires et en promouvant la digitalisation, conformément à la vision du Chef de l’État. » — Ministre provincial des Finances du Kongo Central.

Un marché en pleine évolution

Avant l’arrivée d’UBA, le secteur bancaire de Matadi affichait déjà une croissance notable, avec une augmentation de 20% du crédit client entre 2021 et 2024, selon les chiffres de la Banque centrale.

Située sur l’avenue de la Poste, numéro 7, la nouvelle agence ambitionne d’être un levier pour le développement économique local, en facilitant l’accès aux financements et en accompagnant les entrepreneurs du Kongo Central vers une économie plus digitalisée et inclusive.

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RDC – Afrique du Sud : Vers une coopération militaire renforcée pour une sécurité durable

Le Vice-Premier ministre et ministre de la Défense nationale de la RDC, Me Guy Kabombo Muadiamvita, a rencontré son homologue sud-africaine, Angie Motshekga, le lundi 24 mars 2025 à Pretoria. Cette réunion de haut niveau marque une étape clé dans la relance d’une coopération militaire bilatérale entre les deux nations, dans un contexte sécuritaire toujours préoccupant en RDC.

Au cœur des discussions : le renforcement des échanges stratégiques et techniques à travers une formation avancée des unités militaires congolaises, notamment les forces spéciales, les unités de réaction rapide, ainsi que le personnel des forces aériennes et navales. Les deux pays envisagent également un transfert d’expertise en industrie de défense, un enjeu majeur pour le développement des capacités opérationnelles congolaises.

Kinshasa et Pretoria ont aussi convenu d’actualiser leur accord de coopération militaire, en intégrant de nouveaux axes de collaboration. Parmi les priorités : la modernisation des systèmes de renseignement et de transmission, afin d’améliorer l’efficacité des opérations sur le terrain.

Cette rencontre s’inscrit dans une dynamique d’échanges réguliers entre experts militaires des deux pays. Des sessions de travail conjointes et des exercices communs seront organisés pour renforcer cette coopération stratégique.

En janvier dernier, Angie Motshekga s’était rendue à Kinshasa, où elle avait rencontré Me Guy Kabombo Muadiamvita pour discuter du renouvellement du mandat de la MONUSCO. Elle avait également visité le contingent sud-africain de la Brigade d’Intervention Rapide (BIR), déployé à Beni pour lutter contre les groupes armés, notamment les rebelles ADF.

Avec ces nouvelles perspectives, la RDC et l’Afrique du Sud entendent consolider un partenariat militaire durable, garantissant une meilleure réponse aux défis sécuritaires et contribuant à la stabilité de la région.