Mobilisation des chefs coutumiers pour la défense de la RDC

Le vice-ministre des Affaires coutumières, Jean-Baptiste Katurebe , a exhorté le mercredi 5 mars 2025 tous les chefs coutumiers de la République démocratique du Congo à s’unir derrière le président Félix Tshisekedi pour lutter contre l’ agression rwandaise .

Selon lui, le mode opératoire de l’ennemi est désormais connu , et toutes les autorités coutumières sont mobilisées pour y mettre fin.

« J’appelle toutes les autorités coutumières à me prêter main-forte. Avec le contrôle de tous les pouvoirs que vous avez, venez m’aider à chasser nos ennemis communs. »

Le vice-ministre a également invité la jeunesse congolaise à intégrer l’ armée afin de combattre aux côtés des FARDC contre les forces rwandaises occupant Goma, Bukavu et plusieurs territoires du Nord et Sud-Kivu.

1xBet atteint la finale des prestigieux SiGMA Africa Awards 2025

Le bookmaker d’envergure mondiale 1xBet maintient avec confiance sa position parmi les fleurons de l’industrie de l’iGaming et continue de recevoir d’excellents avis de la part de la communauté professionnelle. Cette fois, la marque a été présélectionnée pour les prestigieux SiGMA Africa Awards 2025 dans les catégories Meilleur opérateur sportif de l’année et Meilleur opérateur mobile de l’année.

Les gagnants seront déterminés par la décision d’un jury d’autorité et par les résultats du vote sur la page du concours. La cérémonie de remise des prix se déroulera le 10 mars, jour d’ouverture du sommet SiGMA Afrique 2025, qui se tiendra à Sun Exhibits à GrandWest au Cap, en Afrique du Sud.

« L’année dernière, 1xBet a été nommé Meilleur bookmaker d’Afrique et nous voulons confirmer ce statut. Notre équipe a travaillé dur pour offrir à nos clients la meilleure expérience de jeu possible, avec une large gamme d’événements sportifs et de promotions attirantes. Nous avons également accordé une attention particulière à l’application mobile, la rendant encore plus conviviale pour les utilisateurs. Nous sommes heureux que nos efforts aient été reconnus par les plus grands experts du secteur », a déclaré un représentant de 1xBet.

Se hisser en finale des SiGMA Africa Awards 2025 n’est pas le seul succès significatif que 1xBet a obtenu au cours de l’année écoulée. La marque a déjà empoché le prix du Mobile Sports Product of the Year aux International Gaming Awards 2025, le prix du Meilleur programme d’affiliation de l’année aux SiGMA Asia Awards 2024 et a été nommée Meilleur opérateur d’e-sport de l’année en Amérique latine aux SiGMA Americas Awards 2024.

À propos de 1xBet

1xBet est une société internationale avec 18 ans d’expérience dans le secteur des paris et des jeux d’argent et est l’un des principaux bookmakers en Afrique. La marque soutient activement le sport africain, en étant le partenaire officiel de la Confédération Africaine de Football (CAF) et de tous les tournois sous son égide. Au niveau mondial, 1xBet est associé au FC Barcelone, au PSG et à la FIBA. Des millions de joueurs de toute l’Afrique parient sur les meilleurs événements et jouent aux meilleurs jeux en ligne sur une plateforme disponible en 70 langues. La plateforme 1xBet est visitée par plus de 3 millions de joueurs du monde entier chaque mois. La société reçoit régulièrement des prix prestigieux tels que « African Sportsbook of the Year » aux SiGMA Africa Awards et « Affiliate Company of the Year » aux International Gaming Awards-2024.

À propos des SiGMA Africa Awards 2025

Les SiGMA Africa Awards sont organisés par la société internationale SiGMA Group – une autorité reconnue dans le domaine de l’iGaming, de la sécurité numérique et du marketing d’affiliation. Le groupe SiGMA opère en Afrique, en Europe, en Asie et en Amérique latine et dispose d’une forte présence dans chaque région. Les SiGMA Africa Awards font partie d’un système de récompenses décernées chaque année aux représentants les plus performants de l’industrie du jeu.

Ouattara et Mahama unis pour la stabilité régionale et la coopération Côte d’Ivoire-Ghana

Le président ghanéen, John Dramani Mahama, en visite officielle en Côte d’Ivoire, s’est entretenu ce mercredi 5 mars 2025 avec son homologue ivoirien, Alassane Ouattara, à Abidjan. Cette rencontre, la première depuis l’élection de Mahama, a permis d’aborder des questions cruciales pour la sous-région, notamment la sécurité, l’intégration régionale et la coopération bilatérale.

Un appel à l’unité de la CEDEAO

Lors d’un point de presse, Alassane Ouattara a souligné l’importance de maintenir l’unité au sein de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). « Nous avons noté la nécessité d’apporter une assistance aux pays frères pour faire face aux besoins humanitaires et sécuritaires. Nous vous faisons confiance, Monsieur le président, pour convaincre ces pays de rester dans la CEDEAO, car il y va de l’avenir des peuples de l’Afrique de l’Ouest », a déclaré Ouattara.

John Dramani Mahama a réaffirmé cette position, insistant sur l’importance de l’unité régionale : « Il est toujours bon de rester dans un groupe de 15 que dans un groupe de trois. Ces pays comptent dans la sous-région, et leurs populations ont des intérêts économiques transfrontaliers. »

Coopération bilatérale renforcée

Les deux chefs d’État ont également évoqué les sujets d’intérêt commun, notamment dans les domaines de la défense, de la sécurité, de l’économie du cacao – dont la Côte d’Ivoire et le Ghana sont les premiers producteurs mondiaux –, ainsi que des mines et de l’énergie.

« Nous avons réaffirmé notre volonté commune de soutenir l’Initiative Cacao Côte d’Ivoire-Ghana et de renforcer la coopération dans la lutte contre l’orpaillage illégal », a indiqué Ouattara. Les deux pays, qui cumulent plus de 60 % de la production mondiale de cacao, ont également discuté des grands projets régionaux, tels que le corridor Abidjan-Lagos et la mise en œuvre de la monnaie commune, l’Eco.

Défis sécuritaires et climatiques

Les présidents ont abordé les défis sécuritaires et environnementaux auxquels fait face la sous-région. « Nous avons évoqué la nécessité de lutter efficacement contre le réchauffement climatique, le terrorisme, la piraterie maritime et toutes les formes de trafics », a précisé Ouattara.

Suspension des aides américaines : une opportunité ?

Sur la question de la réduction des financements américains, Alassane Ouattara a reconnu l’impact significatif de cette décision, tout en restant optimiste : « Nous avons pris des dispositions pour continuer à financer nos projets en attendant que les États-Unis reprennent leurs décaissements après l’audit en cours. »

John Dramani Mahama a quant à lui vu dans cette situation une opportunité pour les pays africains de revoir leurs stratégies économiques : « Les États-Unis ont le droit de réviser leur coopération. Cela nous pousse à compter davantage sur nous-mêmes. »

Cette rencontre a renforcé les liens entre la Côte d’Ivoire et le Ghana, deux pays clés de la CEDEAO. Face aux défis sécuritaires, économiques et environnementaux, les deux présidents ont réaffirmé leur engagement à œuvrer ensemble pour la stabilité et le développement de la sous-région.

Judith Suminwa en tournée au Kongo Central : « 30 ans de guerre, ça suffit ! »

La Première Ministre Judith Suminwa Tuluka a entamé ce 5 mars 2025 une tournée nationale au Kongo Central , accompagnée du Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie nationale, Daniel Mukoko Samba . L’objectif : mobiliser la population autour de la défense de l’intégrité territoriale .

À Matadi , devant une foule enthousiaste réunie au Stade Damar , la Cheffe du gouvernement a lancé un message fort :
 Unité et solidarité nationale : « 30 ans de guerre à l’Est, ça suffit ! Cette terre nous appartient. »
Mobilisation populaire : La société civile et les partis politiques ont répondu à l’appel, réaffirmant leur soutien aux FARDC .
 Dialogue et cohésion : Dans la lignée des directives du Président Félix Tshisekedi , elle a insisté sur la nécessité d’une mobilisation nationale face aux menaces extérieures.

La Cheffe du Gouvernement a également évoqué le Front patriotique , mettant en avant trois actions clés :
L’effort de guerre pour soutenir les FARDC
L’enrôlement massif des jeunes dans l’Armée nationale
La vigilance citoyenne pour signaler tout cas suspect

Après un discours engagé , Judith Suminwa a échangé avec la population et promet des actions concrètes à court, moyen et long terme .

Est de la RDC : l’ONU alerte sur les risques extrêmes pour les défenseurs des droits de l’homme

Face à la détérioration alarmante de la situation sécuritaire et humanitaire dans l’est de la République Démocratique du Congo (RDC), marquée par les offensives de la rébellion du M23 soutenue par le Rwanda, Mme Mary Lawlor, experte des Nations Unies et Rapporteuse spéciale sur la situation des défenseurs des droits de l’homme, a lancé un appel urgent à la communauté internationale.

Dans une déclaration faite ce mercredi 5 mars 2025 à Genève, en Suisse, elle a révélé que les défenseurs des droits de l’homme dans l’est de la RDC courent un risque extrême de représailles pour leur travail. Elle a insisté sur la nécessité d’un soutien immédiat, incluant une réinstallation temporaire pour eux et leurs familles.

« Ces dernières semaines, j’ai reçu d’innombrables alertes demandant un soutien et j’ai parlé directement avec des défenseurs sur le terrain. Ils vivent dans la peur et les risques sont réels. Récemment, un défenseur m’a informé que les rebelles du M23 avaient dressé des listes de défenseurs des droits de l’homme à appréhender dans les zones qu’ils contrôlent », a déclaré Mme Lawlor.

La Rapporteuse spéciale a également fait état d’informations crédibles selon lesquelles des défenseurs des droits de l’homme sont détenus au secretdisparus de force et torturés à Rutshuru et Masisi, dans le Nord-Kivu. Au moins six défenseurs sont portés disparus après avoir tenté de fuir Goma, suite à la prise de la ville par le M23 fin janvier.

« Certains défenseurs n’ont pas eu d’autre choix que de fuir leur domicile. Ceux qui parviennent à gagner d’autres villes n’ont pas les moyens de trouver un abri ou de subvenir à leurs besoins quotidiens. D’autres sont restés dans les zones contrôlées par les rebelles, mais craignent pour leur sécurité », a-t-elle ajouté.

Des risques accrus pour les femmes défenseures

Mme Lawlor a également souligné les risques spécifiques encourus par les femmes défenseures des droits de l’homme, particulièrement exposées aux violences sexuelles et sexistes dans un contexte de conflit.

« Il est consternant de penser que 25 ans après la résolution historique du Conseil de sécurité sur les femmes, la paix et la sécurité, ces événements se déroulent sous les yeux d’un monde largement apathique », a-t-elle déploré.

Appel à la communauté internationale

La Rapporteuse spéciale a appelé la communauté internationale à reconnaître sa responsabilité collective envers les défenseurs des droits de l’homme en RDC. « J’appelle les États membres à les rechercher et à explorer toutes les possibilités d’assistance rapide afin d’éviter que la situation ne se détériore davantage », a-t-elle plaidé.

Contexte sécuritaire et humanitaire critique

La situation dans l’est de la RDC continue de se dégrader, avec des violations massives des droits humains, notamment des exécutions sommaires, des violences sexuelles et des attaques contre des infrastructures civiles, telles que des hôpitaux et des entrepôts humanitaires. L’avancée du M23, soutenu par le Rwanda, a provoqué des déplacements massifs de population, plongeant la région dans une crise humanitaire sans précédent.

Selon l’ONU, des menaces ont également été proférées contre le système judiciaire, tandis que des criminels violents et des chefs de groupes armés condamnés pour des crimes de guerre se sont évadés des prisons de Goma, Kalehe, Bukavu et Uvira, augmentant encore les risques pour les civils et les défenseurs des droits de l’homme.

L’Allemagne suspend son aide au Rwanda après l’offensive du M23 en RDC

Après le Royaume-Uni et le Canada, l’Allemagne a annoncé le mardi 4 mars 2025 la suspension de ses nouvelles aides au Rwanda. Cette décision fait suite à l’offensive du groupe armé M23 dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC). Dans un communiqué, le ministère allemand de la Coopération a déclaré : « Nous allons suspendre de nouveaux engagements financiers ainsi que des rencontres de haut niveau avec Kigali et revoir la coopération existante avec le Rwanda. »

L’Allemagne condamne fermement l’offensive du M23, qu’elle qualifie de « violation de l’intégrité territoriale et de la souveraineté de la RDC ». Dans un tweet, le ministère a précisé :

« Nous condamnons vivement les actions du Rwanda et du M23 dans l’est du Congo. La violation du cessez-le-feu et de la souveraineté de la RDC est inacceptable. L’Allemagne gèle ses nouveaux engagements financiers envers le Rwanda et réexamine sa coopération bilatérale en cours. »

Berlin a informé Kigali de sa décision. Le Rwanda bénéficie d’une aide annuelle de 50 millions d’euros de l’Allemagne pour des projets de développement économique, d’énergie, de protection climatique et de production de vaccins. Lors de ses échanges avec Kigali, l’Allemagne a réitéré sa demande de retrait des forces rwandaises de la RDC et de cessation du soutien au M23. Le ministère a toutefois souligné que « les préoccupations sécuritaires du Rwanda doivent être prises au sérieux », ajoutant que Berlin était également en contact avec les autorités congolaises.

Réaction du Rwanda :

Le ministère rwandais des Affaires étrangères a réagi vivement à cette décision, qualifiant la « politisation » de la coopération au développement par l’Allemagne d’« erronée et contre-productive ». Dans un communiqué publié sur X, il a déclaré :
« Le Rwanda regrette la politisation de la coopération au développement par le gouvernement intérimaire allemand. Cette démarche est une erreur et contre-productive. L’Allemagne contredit ses propres déclarations de soutien au processus africain de résolution du conflit en exonérant la RDC de ses nombreuses violations, ce qui ne fait qu’encourager sa posture belliqueuse et prolonger inutilement le conflit. »

Contexte international :

Cette décision de l’Allemagne s’inscrit dans un contexte de tensions croissantes. Fin janvier, Berlin avait déjà annulé des consultations gouvernementales avec le Rwanda. Le Royaume-Uni, de son côté, avait suspendu la majorité de son aide financière au Rwanda le 25 février. Le Canada a également annoncé lundi 3 mars la suspension des permis d’exportation de biens et technologies réglementés vers le Rwanda, ainsi que des nouveaux projets économiques gouvernementaux.

La communauté internationale semble ainsi durcir son ton face à Kigali, accusé de soutenir le M23 dans un conflit qui continue de déstabiliser la région.

L’Union européenne envoie 44 tonnes d’aide humanitaire pour l’Est du pays

Le Président Félix Tshisekedi a reçu, ce mardi à Kinshasa , Johan Borgstam , le Représentant spécial de l’Union européenne (UE) pour la région des Grands Lacs . Leur rencontre a été dominée par les discussions sur la crise sécuritaire persistante à l’Est de la RDC .

Lors de cet échange, M. Borgstam a annoncé une aide humanitaire de 44 tonnes destinée aux victimes du conflit causé par l’ agression du Rwanda et les attaques des terroristes de l’AFC/M23 dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu .

Le diplomate européen a exprimé sa compassion envers les populations meurtries et a affirmé avoir partagé avec le Président congolais la position de l’UE sur la région des Grands Lacs , notamment en ce qui concerne la violation de l’intégrité territoriale de la RDC par le Rwanda .

Plus d’un million d’élèves privés d’école à cause de la guerre au Kivu

Lors du briefing de presse du mardi 4 mars 2025, la ministre de l’Éducation nationale et Nouvelle Citoyenneté, Raïssa Malu, a déclaré l’impact catastrophique du conflit sur le système scolaire dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Elle a révélé des chiffres alarmants : 1,4 millions d’élèves sont privés d’éducation, 2 500 écoles touchées, certaines réduites en cendres, d’autres occupées par des groupes armés .

« Des écoles ont été détruites par les bombardements. D’autres sont devenus des bases militaires. Pire encore, une école aurait servi de cimetière », a déploré la ministre. Les tableaux et bancs, autrefois destinés à l’apprentissage, ont été brûlés pour servir de bois de chauffe.

Un combat pour reconstruire et sécuriser l’éducation

Malgré cette situation dramatique, le gouvernement reste déterminé à restaurer l’accès à une éducation de qualité . « Nous voulons rouvrir les écoles, mais seulement si la sécurité est garantie », a insisté Raïssa Malu. Une fiche d’évaluation permet désormais de vérifier les conditions sécuritaires avant toute reprise du cours.

Actuellement, seuls 50 % des élèves ont pu retourner en classe . « L’insécurité empêche encore de nombreux parents d’envoyer leurs enfants à l’école », at-elle expliqué. L’objectif reste clair : garantir un environnement sûr pour les élèves et les enseignants .

L’éducation comme moteur du développement

Raïssa Malu a réaffirmé son engagement à améliorer le système éducatif, notamment en renforçant l’usage des langues nationales dans l’enseignement. « Pour mieux apprendre les sciences et les mathématiques, il faut les enseigner dans une langue que les élèves maîtrisent dès le plus jeune âge », a-t-elle souligné.

Le gouvernement travaille avec des partenaires financiers et humanitaires pour développer des solutions alternatives, comme l’enseignement à distance , afin d’assurer la continuité pédagogique malgré le conflit.

Une éducation menacée, un avenir incertain

Au-delà des infrastructures détruites, la ministre a insisté sur l’impact psychologique du conflit sur les enfants. « Le plus grave, c’est ce qui se passe dans leur esprit. L’éducation est la clé du développement de notre pays. Nous devons agir vite », at-elle conclu.

Arsenal prêt à lâcher « Visit Rwanda » : Un choix financier ou politique ?

Arsenal s’apprête à tourner la page sur son partenariat avec « Visit Rwanda ». Selon le Daily Mail , les Gunners envisagent de ne pas renouveler ce contrat de sponsoring qui expire à la fin de la saison 2024-2025, et recherchent une alternative plus lucrative.

Signé en 2018 pour environ 10 millions de livres sterling par an , ce partenariat avait été prolongé en 2021. Cependant, avec la montée en puissance d’Arsenal en Premier League et son retour en Ligue des champions , le club londonien espère décrocher un sponsor prêt à doubler cette somme .

Mais ce désengagement pourrait aussi être lié aux pressions politiques croissantes . Depuis plusieurs mois, la République démocratique du Congo (RDC) exhorte les clubs européens sponsorisés par « Visit Rwanda » à rompre leurs accords en raison des accusations de soutien du Rwanda au M23 , un groupe armé actif dans l’est du Congo.

Le gouvernement congolais a déclaré à plusieurs reprises un partenariat « entaché de sang » , appelant la communauté internationale à sanctionner Kigali. Récemment, le Conseil de sécurité de l’ONU a également mis en cause le soutien du Rwanda aux groupes armés opérant en RDC , exigeant le retrait des troupes rwandaises du territoire congolais.

Alors, Arsenal cherche-t-il simplement un contrat plus lucratif , ou le club cède-t-il aux pressions diplomatiques ?

Desabre rappelle Bakambu, Wissa et Diangana

Sébastien Desabre a dévoilé sa liste pour les prochaines rencontres des Léopards avec plusieurs retours majeurs. Cédric Bakambu, Yoane Wissa et Grady Diangana font leur grand retour en sélection congolaise.

En revanche, William Balikwisha, Peter Kioso et Nathanaël Mbuku ne figurent pas dans ce groupe. À noter également qu’aucun nouveau joueur n’a été convoqué pour cette trêve internationale.

Les prochains matchs des Léopards 

  • 🇨🇩 RD Congo 🆚 Soudan du Sud
     21 mars 2025Stade des Martyrs | 17H00 (heure locale)

  • 🇲🇷 Mauritanie 🆚 RD Congo
     25 mars 2025Nouakchott21H00 (heure locale)
     22H00 à Kinshasa23H00 dans l’Est du pays