Coup de tonnerre en RDC : Joseph Kabila poursuivi pour haute trahison et complicité avec le M23

Le ministre d’État, ministre de la Justice et garde des Sceaux, a annoncé des poursuites judiciaires contre l’ancien président Joseph Kabila Kabange. Il l’accuse d’avoir participé à l’agression du pays menée par le Rwanda, via le groupe armé AFC/M23.

Dans son communiqué daté du 18 avril, le ministre a ordonné à l’Auditeur général des FARDC et au procureur général près la Cour de cassation d’engager ces poursuites. Il a aussi instruit la saisie de tous les biens mobiliers et immobiliers de M. Kabila.

Des sanctions immédiates : saisies, restrictions et suspension politique

Le gouvernement a rapidement pris d’autres mesures. Il a imposé des restrictions de déplacement aux collaborateurs de Kabila soupçonnés d’implication. Le ministère de l’Intérieur a quant à lui suspendu toutes les activités du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD), le parti dirigé par l’ancien chef d’État.

Selon les autorités, Kabila aurait affiché une “attitude ambiguë” face à l’occupation d’une partie du territoire national par les forces rwandaises et leurs alliés du M23/AFC. Le communiqué officiel dénonce aussi son retour à Goma, une ville actuellement sous contrôle rebelle.

Le gouvernement appelle à la vigilance nationale

Le ministère de l’Intérieur envisage de saisir le parquet près la Cour constitutionnelle. Il rappelle à tous les partis politiques leur obligation de préserver l’unité nationale et l’intégrité territoriale de la République.

Le PPRD dénonce une manœuvre politique

La riposte du PPRD ne s’est pas fait attendre. Ferdinand Kambere, cadre et secrétaire permanent adjoint du parti, a qualifié les accusations de “tyrannie du régime”. Il affirme que ces communiqués doivent être retirés. Selon lui, Kabila ne se trouve pas à Goma : “Que celui qui confirme sa présence apporte la preuve.”

Arlette Odio, membre du PPRD, a pris la défense de l’ancien président. Elle a déclaré sur Top Congo, dans l’émission Le Débat au Féminin, que Joseph Kabila n’a jamais maltraité ses opposants. Elle ajoute : “Aucune vidéo ni action ne prouve qu’il ait agi contre Étienne Tshisekedi.”

Pour l’instant, Joseph Kabila n’a pas réagi officiellement. Son parti, également silencieux, fait face à une des plus graves crises de son histoire.

Mystère à Goma : Le retour discret de Joseph Kabila par Kigali intrigue la RDC

Joseph Kabila, ancien président de la République démocratique du Congo, a effectué un retour discret dans son pays. Il est arrivé à Goma, capitale du Nord-Kivu, après un passage remarqué par Kigali, au Rwanda. L’information, confirmée par nos sources  ce vendredi 18 avril par deux sources proches de l’AFC/M23 ainsi qu’une source de son entourage, relance les interrogations sur ses intentions.

Depuis l’année dernière, Kabila résidait officiellement entre le Zimbabwe et l’Afrique du Sud. Le 8 avril, dans un message adressé à certains médias, dont RFI, il avait annoncé son retour prochain au pays. Mais l’annonce de son arrivée à Goma, sans programme connu, dans une zone instable marquée par les conflits, suscite une vive curiosité.

À ce stade, aucun détail n’a filtré sur l’agenda de l’ancien chef de l’État dans l’est de la RDC. Cette visite surprise alimente donc les spéculations politiques et sécuritaires dans une région toujours sous tension.

Procès Bukanga-Lonzo : Matata Ponyo face à la justice, entre scandale et tensions politiques

Une audience attendue dans un climat tendu

La Cour constitutionnelle de la RDC convoque une audience publique le mercredi 23 avril 2025. Elle doit examiner l’affaire opposant le ministère public à Augustin Matata Ponyo, Christo Stephanus Grobler et Déogratias Mutombo Nyembo.

Le ministère public accuse les trois prévenus d’avoir détourné des fonds publics destinés au projet agro-industriel de Bukanga Lonzo. Ce programme, lancé en 2014 sous le gouvernement de Matata Ponyo, visait à moderniser l’agriculture congolaise. Malgré un financement dépassant les 200 millions de dollars, le projet a échoué. Les infrastructures restent inachevées, et les terres cultivables sont abandonnées.

Lors de l’audience du 14 avril, la Cour a rejeté les arguments de la défense qui contestaient sa compétence. Elle a donc ouvert l’instruction au fond et fixé la prochaine séance au 23 avril.

 Polémique autour de la procédure et accusations d’ingérence

Les avocats de Matata Ponyo dénoncent une procédure injuste. Ils estiment que la Cour viole les droits de la défense, car elle poursuit un ancien Premier ministre sans l’accord du Parlement réuni en Congrès. Malgré ces critiques, la Cour a décidé d’examiner ces objections dans le fond du dossier.

Le climat politique reste tendu. Le consortium des associations de la société civile accuse Vital Kamerhe, président de l’Assemblée nationale, d’ingérence. Il lui reproche de bloquer la levée des immunités parlementaires de Matata Ponyo pour favoriser son allié politique.

Ce procès ne se limite donc pas à une simple affaire de détournement. Il questionne l’indépendance de la justice congolaise et met à l’épreuve la volonté de l’État de lutter contre la corruption. Le 23 avril, l’audience s’annonce décisive.

Fouilles chez Kabila: retour sur une affaire explosive

Depuis mardi, les services de renseignement civils et militaires mènent des fouilles dans une résidence de Joseph Kabila à Limete. Officiellement, ils cherchent du matériel militaire.

Cette opération intervient alors que le président Tshisekedi accuse son prédécesseur de collusion avec l’AFC/M23, groupe rebelle actif dans l’Est du pays.

Conteneurs inspectés, rien de compromettant

Le jeudi 17 avril, les fouilles se sont arrêtées temporairement à 18h. Treize conteneurs ont été recensés, cinq ont été ouverts.

Selon des sources proches du dossier, seules des pièces de rechange y ont été découvertes. Elles appartiennent à des locataires à usage logistique ou commercial. Aucune saisie compromettante n’a été signalée.

La vigilance reste de mise : quatre militaires ont passé la nuit sur les lieux. Un avocat de la famille Kabila et un représentant administratif assistent à chaque étape. Les fouilles doivent reprendre ce vendredi.

Rumeurs autour de la Vallée de la N’Sele

Des rumeurs ont évoqué une possible perquisition au parc animalier de la Vallée de la N’Sele, autre propriété de Kabila.
Des responsables du site ont affirmé avoir été alertés, mais les services de sécurité ont démenti toute intervention à cet endroit.

Un climat politique électrique

Ces opérations s’ajoutent à une série d’interrogatoires menés récemment par l’auditorat militaire.
Plusieurs cadres du PPRD, parti de l’ancien président, ont été entendus. Leurs téléphones ont été analysés, leurs conversations passées au crible.

Le secrétaire permanent, Emmanuel Ramazani Shadary, parle de harcèlement ciblé :

« Nous recevons même des appels anonymes annonçant que nous serons perquisitionnés. »

Panique à Lubumbashi

Le même jour, à Lubumbashi, des éléments de la garde présidentielle sont entrés dans le centre commercial Hypnose, propriété de la famille Kabila.
Cela a provoqué un début de panique.

Il ne s’agissait pas d’une fouille, mais d’une opération de sécurité. Des tireurs d’élite souhaitaient se positionner sur le toit, proche du gouvernorat où séjourne le président Tshisekedi.

Une RDC en zone de turbulences

La RDC semble engagée dans une zone de turbulence politique, où les opérations de sécurité croisent des tensions de pouvoir.
Entre suspicions, perquisitions et messages codés, la méfiance s’installe au sommet de l’État.

Corridors stratégiques : la RDC mise sur l’industrialisation locale pour transformer son avenir

Transformer les richesses à domicile, dynamiser les corridors logistiques et créer des emplois durables. C’est le message fort lancé par le ministre des Mines, Kizito Pakabomba, lors de la 9e édition d’Expo Béton qui s’est tenue du 16 au 19 avril 2025 à Lubumbashi, sous le thème : « Les corridors sud de la RDC–SADC : Projets à développer et opportunités d’affaires ».

L’événement, lancé officiellement par le Président Félix Tshisekedi, a mis en lumière l’importance stratégique des infrastructures pour le développement économique national.

Dans un panel de haut niveau, le ministre a comparé la RDC à l’Angola, soulignant la lenteur congolaise due à la gestion publique des infrastructures, face à un modèle angolais plus dynamique grâce aux concessions privées.

Pour faire des corridors sud de véritables moteurs de croissance, Kizito Pakabomba a plaidé pour la fin des exportations de minerais bruts. Il propose :

  • Le renforcement du contenu local inscrit dans le Code Minier ;

  • Le lancement des zones économiques spéciales, notamment à Kolwezi ;

  • L’implantation d’unités de transformation métallurgique et de fabrication de composants pour batteries électriques, pour intégrer la chaîne mondiale de valeur.

Il a également insisté sur la diversification de l’économie, notamment par le développement de l’industrie agricole le long des corridors pour désenclaver les régions.

Le ministre conclut en appelant à voir les corridors logistiques comme des leviers stratégiques pour une industrialisation inclusive, conformément à la vision du Chef de l’État : faire de la transformation locale un pilier de l’émergence de la RDC.

RDC–FMI : Les voyants au vert malgré la guerre

Malgré les défis liés au contexte sécuritaire, la République démocratique du Congo affiche une résilience économique qui suscite l’optimisme. Les indicateurs du cadre macro-économique sont au vert, ouvrant la voie à la conclusion de la première revue des programmes de Facilité élargie de crédit (FEC) et de Facilité pour la résilience et la durabilité (FRD), dans le cadre de l’accord signé avec le Fonds Monétaire International.

C’est ce qu’a révélé la Troïka politique du jeudi 17 avril, tenue au Centre financier de Kinshasa, sous la présidence du ministre des Finances, Doudou Fwamba, et du ministre d’État au Budget, Aimé Boji.

Cette réunion stratégique a également permis aux experts congolais de préparer activement la participation de la RDC aux prochaines Assemblées de printemps du FMI et de la Banque mondiale. L’objectif est clair : préserver la crédibilité et l’image du pays auprès de ses partenaires économiques.

Selon Félicien Mulenda, coordonnateur du Comité technique de suivi et d’évaluation des réformes (CTR), la plupart des critères quantitatifs ont été respectés, malgré une hausse des dépenses sécuritaires imposée par la guerre. Ce seul écart, justifié par l’urgence de défendre l’intégrité nationale, n’entame en rien les avancées enregistrées.

Mieux encore, la stabilité économique reste assurée. L’inflation est sous contrôle et le taux de change demeure relativement stable. Des performances qui, selon Mulenda, illustrent la vision du Président Félix Tshisekedi pour une gouvernance économique rigoureuse, résiliente et tournée vers l’avenir.

Judith Suminwa frappe fort à Lubumbashi : vers une révolution silencieuse du pouvoir en RDC ?

Ce vendredi 18 avril 2025, Judith Suminwa Tuluka, Cheffe du Gouvernement, est arrivée à Lubumbashi pour assister à la 40ᵉ réunion du Conseil des ministres. Une session pas comme les autres, présidée par le Chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Le pouvoir en immersion dans les réalités locales

Tenir ce Conseil en dehors de Kinshasa est un acte politique fort. Il traduit la volonté du Gouvernement de rapprocher les institutions nationales du quotidien des citoyens.

Cette délocalisation est un message clair : le pouvoir central ne doit pas rester enfermé dans la capitale.

Judith Suminwa, l’engagement d’une gouvernance de proximité

Par sa présence au Haut-Katanga, la Première ministre confirme sa volonté de bâtir une gouvernance territorialisée et inclusive. Elle incarne une nouvelle ère où les décisions sont prises au plus près des réalités du terrain.

Le Pilier 5 du PAG au cœur de l’action

Cette réunion entre pleinement dans le cadre du Pilier 5 du Programme d’Actions du Gouvernement (PAG). Elle vise le renforcement des institutions locales et l’amélioration des services déconcentrés.

Un pas de plus vers la cohésion nationale

Cette étape marque un tournant symbolique dans l’ancrage de la cohésion nationale et du développement équilibré de la République Démocratique du Congo.

Expo Béton 2025 : Lubumbashi au cœur des corridors stratégiques pour transformer la RDC

Ce jeudi 17 avril 2025, le Président Félix Tshisekedi a ouvert la 9ᵉ édition d’Expo Béton à Lubumbashi. Ce salon incontournable est dédié aux infrastructures, à l’urbanisme durable et à l’intégration économique en Afrique australe.

Le thème retenu cette année est :
« Les corridors Sud de la RDC–SADC : projets à développer et opportunités d’affaires ».

Jean Bamanisa dévoile une vision tournée vers l’avenir

En présence de plusieurs officiels et acteurs économiques, Jean Bamanisa Saidi, président du comité d’organisation, a exposé sa vision.

« L’avenir des corridors ne se limite pas aux routes ou aux rails », a-t-il affirmé.
« Il faut créer des zones industrielles, des unités de transformation locale, et former une main-d’œuvre qualifiée. »

Il insiste également sur l’intégration de technologies propres et durables, tout en appelant à une planification à moyen et long terme.

Un appel à investir en RDC

Selon Jean Bamanisa, la RDC est en voie de devenir un pays émergent. Il met en avant plusieurs atouts :

  • Une croissance régulière, proche des deux chiffres

  • Des rendements parmi les plus attractifs de la région

  • Une jeunesse dynamique et créative

  • Un marché intérieur de 100 millions d’habitants

  • Un potentiel de 210 millions de consommateurs dans les pays voisins

Il appelle donc à des investissements stratégiques pour accompagner cette dynamique.

Le corridor de Lobito au centre des débats

Cette édition met un accent particulier sur l’intégration du Grand Katanga et du Grand Kasaï dans le Corridor de Lobito. Ce corridor est perçu comme un levier pour renforcer les échanges régionaux.

Jean Bamanisa souligne :

« Lobito ne doit pas être une fin en soi. Il est essentiel de connecter les sites miniers, agricoles et urbains à ces grands axes. »

Des échanges riches autour des enjeux régionaux

Tout au long du salon, plusieurs ateliers sont prévus. Ils porteront notamment sur :

  • L’industrialisation des territoires

  • Les opportunités d’échange et de commerce

  • Le développement de l’emploi

  • L’urbanisation durable

Ces échanges profiteront aux trois pays interconnectés par le corridor.

Une clôture valorisant la jeunesse

En fin de salon, les meilleurs projets d’étudiants seront récompensés.
Puis, la Première ministre Judith Suminwa prononcera un discours de clôture. Elle réaffirmera l’engagement du gouvernement pour concrétiser les ambitions du salon.

Un tournant pour le développement régional

Expo Béton 2025 s’annonce donc comme un moment stratégique. Il marque une nouvelle étape dans le développement intégré de la RDC et son rayonnement régional.

Les États-Unis intensifient leur pression sur le Rwanda et renforcent leur partenariat minier avec la RDC

Lors de sa tournée en Afrique, Massad Boulos, conseiller principal pour l’Afrique au Département d’État américain, a réaffirmé la position ferme des États-Unis sur la question du Rwanda. Lors d’une conférence de presse ce jeudi, il a exigé que le Rwanda cesse tout soutien au M23 et retire ses troupes du territoire de la République Démocratique du Congo (RDC).

Des progrès dans la recherche d’une paix durable


Boulos a exprimé sa confiance quant à l’action rapide des parties prenantes pour apporter une solution au conflit. Il a salué le retrait du M23 de Walikale, une avancée concrète obtenue après des discussions avec les acteurs concernés. Les États-Unis demeurent engagés pour garantir une paix durable, particulièrement dans l’est de la RDC.

Un partenariat minier entre les États-Unis et la RDC


Boulos a confirmé l’avancement des discussions avec le président congolais, Félix Tshisekedi, sur un partenariat stratégique dans le secteur minier. Les deux parties ont tracé une feuille de route pour un accord bénéfique pour la RDC et les États-Unis. Boulos a ajouté que les États-Unis mettaient l’accent sur le renforcement des investissements privés américains, en particulier dans l’exploitation des ressources naturelles essentielles à l’économie congolaise.

L’implication des États-Unis dans les projets d’infrastructure


Massad Boulos a évoqué le soutien américain aux projets d’infrastructure, tels que le corridor de Lobito, qui vise à faciliter le transport de ressources naturelles vers l’Atlantique en passant par l’Angola et la Zambie. Il a réaffirmé l’engagement des États-Unis à garantir la souveraineté et l’intégrité de tous les pays, en insistant sur l’importance de la stabilité régionale.

Une mission productive pour la paix et le développement économique


La sous-secrétaire d’État adjointe chargée des Affaires africaines, Corina Sanders, a qualifié cette mission de « très productive ». Elle a précisé que l’objectif principal était de favoriser le dialogue pour la paix en RDC tout en renforçant les liens économiques. La mission a également permis de finaliser le transfert de citoyens américains détenus en RDC, un dossier prioritaire pour la délégation.

Cette tournée, du 2 au 9 avril, a mené la délégation américaine à travers la RDC, le Kenya, l’Ouganda et le Rwanda. Elle témoigne de la volonté des États-Unis de lier sécurité et développement économique pour une coopération durable avec le continent africain.

Lubumbashi décolle : Tshisekedi lance un méga-projet d’aéroport pour propulser le Grand Katanga

Lubumbashi entre dans une nouvelle ère. Jeudi 17 avril 2025, le président Félix Tshisekedi a officiellement lancé les travaux de construction d’un nouvel aéroport moderne dans la capitale économique du Grand Katanga. Une réponse directe aux attentes d’une population longtemps laissée pour compte sur le plan des infrastructures aériennes.

Ce vaste chantier comprend plusieurs volets essentiels : un parking moderne, la réhabilitation complète de la piste d’atterrissage, une nouvelle aire de trafic, et l’aménagement des voies de circulation autour du site. Objectif : fluidifier les connexions aériennes et transformer Lubumbashi en un véritable hub régional.

Deuxième ville du pays, Lubumbashi est considérée comme le poumon de l’économie nationale. Connectée à l’Afrique du Sud par voie ferroviaire, elle joue un rôle clé dans la distribution des produits importés vers les provinces du Katanga, du Kasaï et du Maniema. L’arrivée d’un aéroport de dernière génération devrait accentuer cette dynamique, attirant davantage d’investissements et favorisant les échanges commerciaux.

Dans la foulée de cette cérémonie, le Chef de l’État a également lancé la 9e édition d’Expo Béton, un événement majeur pour les professionnels de l’urbanisme et des grands travaux. Un symbole fort de sa volonté de relancer les chantiers structurants à travers le pays.

Par ailleurs, Félix Tshisekedi a procédé à l’inauguration d’un hôpital flambant neuf de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), renforçant ainsi l’offre de soins destinée aux travailleurs et à leurs familles dans la province du Haut-Katanga.

Lors de ce déplacement, le Président prévoit aussi une série de rencontres avec les acteurs locaux pour discuter des défis spécifiques du Grand Katanga, notamment en matière d’emplois, d’accès aux services sociaux et de développement durable.

Avec cette série d’initiatives, le message est clair : Lubumbashi est en train de se réinventer.