Jean-Jacques Ndala sous les projecteurs de la Coupe du Monde des Clubs 2025

L’arbitre international congolais Jean-Jacques Ndala officiera à la Coupe du Monde des Clubs 2025. La compétition se jouera du 14 juin au 13 juillet aux États-Unis. L’annonce vient de la Fédération internationale de football association (FIFA), qui a dévoilé la liste officielle ce lundi.

Ndala est l’un des cinq arbitres africains sélectionnés pour ce tournoi planétaire. Visage familier du football continental, il a arbitré la finale retour de la dernière Ligue des Champions CAF. Régulier sur les pelouses africaines, il franchit un cap historique avec cette sélection mondiale.

Au total, 117 officiels issus de 41 fédérations nationales ont été désignés : 35 arbitres centraux, 58 assistants et 24 officiels VAR. Parmi eux, 10 représentent fièrement l’Afrique.

Côté arbitres : Jean-Jacques Ndala (RDC), Ghorbal Mustapha (Algérie), Ibrahim Mutaz (Libye), Sy Issa (Sénégal) et Beida Dahane (Mauritanie).
Chez les assistants : Bangoura Nouha et Camara Djibril (Sénégal), Gourari Mokrane et Zerhouni Abbes Akran (Algérie), Yiembe Stephen (Kenya).
En VAR : Ashour Mahmoud (Égypte) et El Fariq Hamza (Maroc).

Cette première édition de la Coupe du Monde des Clubs au format élargi rassemblera 32 clubs des six confédérations. Quatre équipes africaines seront présentes : Al Ahly (Égypte), Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud), Espérance de Tunis (Tunisie) et Wydad Casablanca (Maroc).

La FIFA introduira plusieurs nouveautés. Les arbitres porteront des caméras corporelles à des fins expérimentales, approuvées par l’IFAB. Autre changement : les gardiens retenant le ballon plus de huit secondes verront l’arbitre accorder un corner, remplaçant l’ancien coup franc indirect.

Jean-Jacques Ndala aura donc l’occasion d’illustrer l’excellence congolaise et africaine sur la scène mondiale. Un signal fort pour l’arbitrage du continent.

Ce dialogue minier pourrait redéfinir l’avenir du pays – Une révolution en marche ?

Kinshasa, 15 avril 2025. Dans un contexte de conflits persistants à l’Est du pays et de pillage massif des ressources naturelles, la Première ministre Judith Suminwa a officiellement lancé le Dialogue national sur la gouvernance minière, une initiative pilotée par la société civile.

« Je me réjouis que ce dialogue soit entre vos mains », a déclaré la cheffe du gouvernement en s’adressant directement aux acteurs de la société civile. « Vous êtes les témoins des violations, mais aussi les porteurs d’espoir dans nos villages. »

Judith Suminwa a rappelé que l’État attend des propositions fortes : « Le Gouvernement vous écoute. Il veut un plan d’actions concret, rigoureux et patriotique. Votre engagement n’est pas une faveur, mais une responsabilité historique. »


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Ce dialogue, soutenu par l’Allemagne, s’inscrit dans une série de réformes ambitieuses déjà amorcées : transparence dans les chaînes d’approvisionnement, traçabilité des minerais, responsabilisation des acteurs, et renforcement du contrôle étatique. L’objectif est clair : restaurer la souveraineté nationale sur les ressources minières et en finir avec le cycle d’exploitation illégale.

Le Gouvernement analysera avec attention les recommandations issues de ce dialogue. La priorité est désormais à une gouvernance minière éthique, inclusive et citoyenne, capable de mettre fin à des décennies de pillage et de conflits alimentés par les minerais.

Lutte contre la fraude minière : le Ministre Kizito Pakabomba en immersion au CEEC

Le lundi 14 avril 2025, le Ministre des Mines, Kizito Pakabomba, a visité le siège du CEEC à Kinshasa.

Le Président du Conseil d’Administration, Dave Kalemba Kashama, le Directeur Général, Freddy Muamba, et son adjoint, Kinyoka Kabalumuna God’el, l’ont chaleureusement accueilli. Ensemble, ils ont échangé sur les enjeux et les objectifs de cette structure clé pour le secteur minier congolais.

Le ministre a ensuite visité la salle technique. Il y a observé les conditions de travail des experts et identifié plusieurs défis. Notamment, il a noté un besoin urgent de renforcer le matériel pour garantir la qualité des évaluations.

Dans la section dédiée à l’or, les responsables ont mis en lumière les risques de fraude. Toutefois, ils ont rassuré le ministre : le CEEC reste capable de conduire des analyses fiables et professionnelles sur toutes les substances précieuses.

Impressionné par les efforts réalisés, Kizito Pakabomba a salué la vision du centre. Il a reconnu les progrès dans la modernisation des outils et la transparence. Il a aussi encouragé l’équipe à poursuivre sur cette voie.

Enfin, le ministre a rappelé l’importance de cette démarche. Il souhaite s’assurer de l’efficacité des structures nationales et promouvoir une gestion rigoureuse des ressources minérales de la RDC.

Malgré la guerre à l’Est, l’économie résiste – Le gouvernement dévoile les secrets de cette stabilité inattendue

Alors que la RDC subit une guerre d’agression à l’Est, menée par le Rwanda et ses supplétifs du M23, une surprise de taille émerge : l’économie congolaise reste stable. Une révélation choc faite ce lundi 14 avril 2025 par le Vice-Premier Ministre de l’Économie, Daniel Mukoko Samba, lors d’un briefing conjoint avec le ministre de la Communication, Patrick Muyaya.

Banque Centrale en Mode « Sauvetage » : Le Franc Congolais Sous Protection

Malgré un contexte international incertain, le cadre macroéconomique congolais tient bon. Comment ? Grâce à une coordination renforcée entre le gouvernement et la Banque Centrale du Congo (BCC). Depuis novembre 2024, la BCC mène une bataille acharnée pour stabiliser le franc congolais, en intervenant régulièrement sur le marché des changes.

« La BCC fait un effort extraordinaire pour soutenir notre monnaie. Les milieux d’affaires ont confiance en nos institutions. »
— Daniel Mukoko Samba

Guerre à l’Est : Un Budget en Tension, Mais Pas de Catastrophe

Financer la guerre a alourdi les dépenses publiques, mais le gouvernement assure avoir trouvé des solutions sans provoquer d’inflation. Comment ? En émettant des obligations d’État, très demandées par les investisseurs. Preuve de confiance, selon Mukoko.

Baisse des Prix : Pétrole, Maïs… Une Bonne Nouvelle pour le Pouvoir d’Achat

  • Carburant : -13% depuis quelques mois, avec une consommation en hausse de 50%.
  • Maïs : À Mbuji-Mayi, le prix a chuté de 8 500 FC à 2 800 FC la mesurette.
  • Application « Talo » : Lancée pour lutter contre les disparités de prix.

Fédéralisme : Un Débat « Indécent » en Pleine Guerre ?

Alors que Olivier Kamitatu (proche de Moïse Katumbi) relance le débat sur le fédéralisme, le gouvernement réplique vertement. Patrick Muyaya dénonce une manœuvre « malsaine » en pleine crise sécuritaire.

« Parler de fédéralisme maintenant, c’est soutenir ceux qui veulent balkaniser la RDC. Indécent ! »
— Patrick Muyaya

Le ministre rappelle que ceux qui poussent ce débat n’ont jamais condamné l’agression rwandaise. Un timing trop suspect pour être innocent…

Affaire Bukanga-Lonzo : La Cour Constitutionnelle ouvre l’instruction, Matata Ponyo et ses avocats attaquent la procédure

La Cour constitutionnelle a ouvert l’instruction, ce lundi 14 avril 2025, dans l’affaire du détournement de fonds liés au développement du parc agro-industriel de Bukanga-Lonzo. L’audience a permis de traiter les préalables, notamment sur la forme de la procédure.

Les avocats de Matata Ponyo soulèvent des violations de procédure

Dès le début, les avocats de Matata Ponyo ont soulevé plusieurs préalables. Me Nyabirungu Mwene Songa a dénoncé une grave atteinte aux droits de la défense. Il a souligné que la procédure violait les principes de base du droit pénal et que la Cour constitutionnelle n’était pas compétente pour juger un ancien Premier ministre. Selon lui, pour juger Matata Ponyo, la Cour devait obtenir l’accord des deux chambres du Parlement réunies en Congrès.

Des accusations de violation de la Constitution

Le professeur Nyabirungu a critiqué la Cour pour avoir violé sa propre décision dans cette affaire. Il a fait référence à l’article 68 de la Constitution, qui interdit tout recours contre les décisions de la Cour constitutionnelle.

Un procès contesté : collaboration irrégulière et demande d’irrecevabilité

Me Laurent Onyemba a dénoncé la collaboration irrégulière entre la Cour constitutionnelle et la Cour de cassation dans cette procédure. Les avocats ont demandé à la Cour de déclarer irrecevable l’action du ministère public et de prononcer l’innocence de Matata Ponyo.

Les faits en question et les demandes des prévenus

Le procureur général, John-Prosper Moke Mayele, a présenté les faits : Matata Ponyo, Grobler Kristo Stéphanus et Deogratias Mutombo sont accusés d’avoir détourné plus de 200 millions USD destinés au parc agro-industriel de Bukanga-Lonzo. Interrogé sur le montant total des fonds, Matata Ponyo a demandé une remise pour examiner les pièces du dossier. Grobler Kristo a fait une demande similaire.

Après quelques questions aux prévenus, la Cour a suspendu la séance et a renvoyé la prochaine audience au mercredi 23 avril 2025.

Mort d’un policier à Kinshasa : les gardes de la Première ministre au cœur d’un scandale explosif

L’affaire fait grand bruit en République démocratique du Congo. Le lundi 14 avril 2025, lors d’une audience foraine au camp Lufungula, le parquet militaire de Kinshasa-Gombe a accusé sept policiers commis à la sécurité de la Première ministre Judith Suminwa d’avoir violemment tabassé le policier de circulation Fiston Kabeya, causant sa mort.

Selon le magistrat, l’incident s’est produit le 25 mars dernier. Ce jour-là, la Première ministre quittait son bureau pour une mission à la Cité de l’Union Africaine. Quelques minutes après, son cortège revient, cette fois sans elle, mais avec à sa tête le commissaire supérieur adjoint Olivier Dunia Kanza. Ce dernier, accompagné de ses hommes, aurait roué de coups le policier Fiston Kabeya à son poste de service, entraînant sa mort.

Le parquet parle d’un homicide causé par des coups volontaires, suite à une altercation liée à un supposé outrage envers la cheffe du gouvernement.

Face à ces accusations, le commissaire Olivier Kanza nie toute brutalité. Il affirme que Fiston Kabeya avait proféré des insultes à l’encontre de la Première ministre. Selon lui, l’équipe de sécurité serait simplement revenue pour remettre le policier à un supérieur, sans usage de violence :

« Il est monté dans la jeep sans que personne ne le brutalise », a-t-il soutenu devant la Cour.

Les sept policiers sont poursuivis pour violation de consignes et homicide. La défense, de son côté, a tenté de faire annuler les débats, arguant qu’elle n’avait pas reçu les preuves d’accusation à l’avance. La Cour militaire a rejeté cette requête, invoquant le caractère flagrant de l’audience, au cours de laquelle toutes les parties découvrent ensemble les éléments du dossier.

L’affaire, désormais publique, suscite une onde de choc à Kinshasa, posant des questions majeures sur les abus de pouvoir, la justice militaire et la protection des droits humains dans le pays.

Faure Gnassingbé entre en scène : un nouveau pari pour la paix dans l’Est de la RDC

Le samedi 12 avril 2025, l’Union africaine a frappé fort en nommant Faure Essozimna Gnassingbé, Président de la République togolaise, comme nouveau médiateur du conflit qui ravage l’est de la République démocratique du Congo. Cette décision, prise par la Conférence des chefs d’État via une procédure de silence, marque un tournant stratégique dans les efforts de pacification d’une région minée par les tensions politiques, sécuritaires et géopolitiques.

Faure Gnassingbé succède à son homologue angolais João Lourenço, qui a jeté l’éponge après des mois de médiation infructueuse. Son départ, probablement influencé par le lancement du processus parallèle mené par le Qatar à Doha, laisse place à une nouvelle dynamique diplomatique dont le Togo devient l’épicentre.

Une mission sous haute tension

Le défi est immense. Kinshasa accuse Kigali de soutenir activement les rebelles du M23, ce que le Rwanda réfute catégoriquement. Cette méfiance mutuelle a paralysé les précédentes tentatives de dialogue, malgré des cessez-le-feu répétés. La première mission de Gnassingbé sera donc de retisser les fils d’une confiance rompue.

En outre, il devra harmoniser les nombreux processus de paix en cours : celui de Luanda (sous l’égide de l’Angola), celui de Nairobi (mené par la Communauté d’Afrique de l’Est), et maintenant celui de Doha. Une feuille de route unique devra émerger, capable d’intégrer les volets sécuritaires, politiques et humanitaires.

Un défi diplomatique complexe

Le ministre togolais des Affaires étrangères, Robert Dussey, a remercié l’Union africaine pour la confiance accordée à son président, affirmant que ce dernier œuvrera pour « une paix durable, la réconciliation et la stabilité dans la région des Grands Lacs ». Pourtant, la mission s’annonce particulièrement ardue.

Le contexte régional reste marqué par des intérêts économiques liés aux minerais stratégiques, notamment le coltan, le cobalt ou encore l’or, que se disputent groupes armés et puissances voisines. Ce facteur économique complique d’autant plus la recherche d’un compromis politique.

Le poids de l’histoire et l’espoir d’une relance

Pour le Togo, cette nomination est une reconnaissance de son engagement croissant dans les enjeux de paix et de sécurité sur le continent. Mais Faure Gnassingbé entre sur un terrain miné, où les échecs diplomatiques ont déjà laissé des cicatrices profondes.

Sa réussite dépendra non seulement de sa capacité à proposer une vision unificatrice, mais surtout de la volonté réelle des parties en conflit de tourner la page. Un pari à haut risque… mais aussi une opportunité unique de changer le cours de l’histoire.

Cobalt, richesses cachées et nouveaux alliés – La stratégie audacieuse de Judith Suminwa

Le 14 avril 2025, aux Émirats Arabes Unis, la Première ministre Judith Suminwa Tuluka a porté haut la vision économique de la RDC. À Abu Dhabi, en marge de l’AIM 2025, elle a défendu les réformes en cours et lancé un appel vibrant aux investisseurs mondiaux.

Dans une interview exclusive à CNN Economic, elle a abordé la question stratégique du cobalt, ce minéral tant convoité. Face à la flambée des prix, la RDC a décidé de suspendre temporairement ses exportations. Objectif : réévaluer les offres étrangères et négocier aux prix du marché.

« Nous voulons un partenariat gagnant-gagnant, pas un pillage déguisé », a-t-elle lancé avec fermeté.

Diversification tous azimuts

Consciente des enjeux géopolitiques, Judith Suminwa a précisé que la RDC ne souhaite plus dépendre d’un seul bloc économique. Des entreprises venues de tous horizons frappent désormais à la porte congolaise, attirées par les ressources minérales stratégiques : cobalt, cuivre, lithium, mais aussi les potentiels agricoles et énergétiques du pays.

« Nous avons 80 % de terres arables encore inexploitées », a-t-elle souligné.
« Et une richesse en eau qui peut transformer l’Afrique centrale en hub énergétique vert. »

Une vision portée par la jeunesse

Avec ses 120 millions d’habitants, dont 60 % ont moins de 25 ans, la RDC mise sur une jeunesse dynamique. L’éducation gratuite au primaire marque le début d’une transformation profonde. Judith Suminwa incarne cette ambition : première femme à diriger un gouvernement congolais, elle envoie un signal fort à toutes les jeunes filles du pays.

« L’éducation est notre arme de reconstruction massive », affirme-t-elle.

Le Congo prêt à choisir ses alliés

Dans ses échanges avec les médias et les autorités émiraties, la cheffe du gouvernement a insisté sur l’importance d’un commerce plus juste et transparent. Le Congo n’est plus à vendre. Il choisit ses partenaires, ses prix, et surtout son avenir.

Kinshasa sous l’eau, le gouverneur absent : colère et questions à l’Assemblée provinciale

L’Assemblée provinciale de Kinshasa a repris ses travaux ce vendredi, dans un climat tendu, marqué par l’absence remarquée du gouverneur Daniel Bumba. Ce dernier était pourtant attendu pour répondre aux questions de la commission spéciale ad hoc chargée d’enquêter sur les inondations tragiques survenues du 4 au 6 avril 2025, qui ont coûté la vie à 43 personnes.

Cette séance, très attendue par la population et les élus, devait marquer un tournant dans la gestion de cette catastrophe. Pourtant, l’autorité urbaine ne s’est pas présentée, suscitant incompréhension et indignation.

« Nous allons continuer notre travail », a déclaré Lévi Mbuta, président de l’Assemblée provinciale. Il a précisé que, malgré ce désistement, l’ordre du jour avait été maintenu. À huis clos, plusieurs points internes ont été examinés, notamment la lecture et l’adoption des procès-verbaux des précédentes réunions, avant une brève réouverture au public.

La déception est palpable : Kinshasa attend toujours des réponses sur les causes de cette catastrophe et les responsabilités des autorités locales. L’absence du gouverneur renforce les soupçons d’inaction ou de manque de transparence.

La suite des travaux parlementaires s’annonce donc sous haute tension, alors que la population exige vérité, justice, et des mesures concrètes pour prévenir de nouveaux drames.

La RDC à la table du G7+ : Gracia Yamba Kazadi plaide pour la paix et le développement à Dili

La République démocratique du Congo marque sa présence diplomatique à l’échelle internationale. La Vice-ministre des Affaires Étrangères, Gracia Yamba Kazadi, séjourne actuellement à Dili, capitale du Timor Oriental, où elle représente officiellement la RDC à la Réunion ministérielle des Affaires Étrangères du G7+.

Cette rencontre de haut niveau, ouverte le 11 avril 2025, réunit les ministres des Affaires étrangères des pays membres du G7+, un groupe d’États fragiles ou en transition unis pour promouvoir la paix, la stabilité et le développement durable. La Vice-ministre y joue un rôle actif, soulignant les efforts de la RDC pour surmonter ses défis structurels et sécuritaires.

Prévue pour s’achever le 12 avril 2025, cette session vise à renforcer la coopération internationale, échanger des expériences, et établir des stratégies communes face aux crises multiformes qui affectent les pays en développement.

En portant la voix du Congo, Gracia Yamba Kazadi affirme la volonté de Kinshasa d’être un acteur clé dans les dynamiques de reconstruction, de résilience et de diplomatie constructive sur la scène mondiale.

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