Le 6 février 2019, le président Touadéra signait, à Bangui, un accord de paix et de réconciliation nationale avec les représentants de quatorze groupes armés. Douze mois après, la paix n’est pas au rendez-vous. Sous l’influence de diplomates russes et avec l’entremise de son factotum directeur de cabinet et futur premier ministre Firmin Ngrebada, le président Touadéra avait validé le choix de Khartoum, imposé par les rebelles de l’ex-Seleka. Ce choix de Khartoum était souhaité également par l’Algérien Smaïl Chergui, commissaire du Comité paix et sécurité de l’Union africaine et acquiescé par le Français Jean-Pierre Lacroix, chef des Opérations de maintien de la paix de l’ONU.
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26 décembre 2024
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24 décembre 2024
Le choix hasardeux des accords de Khartoum
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