Les mandataires de la Régie des voies aériennes (RVA SA) ont rencontré mercredi à Kinshasa le nouveau ministre du Portefeuille, Jean-Lucien Bussa, pour partager leurs idées et les défis rencontrés dans la gestion de leur société. Cette rencontre s’inscrivait dans le cadre des audiences de prise de contact initiées par le ministre récemment nommé.
« Le ministre vient de prendre ses fonctions. Il a besoin de rencontrer les mandataires publics que nous sommes. Il en a profité pour nous communiquer sa vision du secteur et de notre société. Nous en avons profité pour lui faire part de l’idée que nous avons de notre société et des défis auxquels elle fait face », a déclaré Kin Kiey Mulumba, président du Conseil d’administration de la RVA SA.
Le syndicat des entreprises du Portefeuille de l’État a également exprimé son soutien à la vision du nouveau ministre. Lors de la réunion, ils ont présenté les problèmes auxquels les entreprises sont confrontées et ont proposé des solutions potentielles pour relever les défis du développement socio-économique du pays.
« Nous venons d’être reçus par le ministre qui a dans ses attributions la supervision et la gestion d’un bon nombre des membres de l’ANEP pour une prise de contact et la définition de sa vision à laquelle nous adhérons. Nous avons compris ses attentes », a déclaré Clément Kabongo, président du conseil d’administration de l’Association des établissements publics et entreprises du portefeuille de l’État (ANEP).
Jean-Lucien Bussa, lors des échanges, a affirmé : « Je suis là pour vous écouter, et surtout pour recueillir vos propositions pour améliorer la gouvernance des entreprises publiques, la gestion à la fois financière et publique afin de replacer ces entreprises dans leur rôle de levier de la croissance économique et du développement social et surtout comme actrices de création d’emplois. »
Cette série d’audiences de prise de contact vise à établir une communication ouverte et collaborative entre le ministère du Portefeuille et les entreprises publiques, afin de renforcer leur contribution au développement du pays et à la création d’opportunités économiques pour les citoyens congolais.