“La population a peur. Ce qui est arrivé, le Mali et le Burkina l’ont connu”, affirme Kiali Ouattara, chef traditionnel à Ferkessédougou, dans le nord de la Côte d’Ivoire, après l’attaque jihadiste qui a coûté la vie à 13 militaires à Kafolo, à moins de 100 km, sur la frontière burkinabè.
LA SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ