La Commission d’Enquête Spéciale mise en place par le gouvernement centrafricain suite aux nombreux rapports documentés par les experts de l’ONU et certaines agences de « médias néocolonialistes », a rendu public un rapport de synthèse, un contre rapport. Sur les 103 incidents des violations des droits de l’homme et du droit international humanitaire, 23 ne sont pas avérés et la majeure partie est imputable aux rebelles de la Coalition des Patriotes pour le Changement (CPC) et 8 seulement aux éléments des forces de défense et de sécurité nationale.
LA SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ