Ils avaient été arrêtés pour avoir manifestés à l’ouverture du 37e sommet de l’Union africaine, à Addis-Abeba en Ethiopie.
Samedi 17 février dernier, une dizaine de jeunes congolais ont été libérés quelques heures après leur arrestation à l’ouverture du 37e Sommet de l’Union africaine (UA). Présents dans la salle Nelson Mandela, dénonçaient le silence de la communauté internationale face aux tueries perpétrées dans la partie Est de la République Démocratique du Congo.
« J’étais personnellement dans la salle Nelson Mandela. Et je peux vous assurer que c’était un réel plaisir de voir les jeunes congolais de prendre ce courage, de se lever devant autant de chefs d’Etat et de Gouvernement et de toutes les personnalités politiques présentes en ce lieu pour le sommet de l’Union africaine et dénoncer les massacres mais aussi tout ce qui se passe dans l’Est du pays » a affirmé Tina Salama, personnalité politique et journaliste.
Pour cette congolaise, l’acte de ces jeunes a été quelque chose de très courageux de leur part.